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De convaincants détails!

Le procès de jeudi, concernant Chouaïb Oultache, le colonel de la Dg sn, assassin-présumé d'Ali Tounsi, le DgSn, a ameuté un bon, nombre de curieux parmi les quelques avocats qui ont déjà assisté» aux deux premiers procès. C'était juste pour comparer. Il y avait là, outre Me Hassiba Boumerdassi, et a fille, Me Med Djediat, qui venait de finir ave le civil, avec un chaleureux compliment public envoyé depuis le pupitre royalement occupé par la délicieuse présidente de la chambre civile, Me Abdelouahab Zebiri, et sa jeune stagiaire Me Hassina Sahraoui, Me Ahmed Nacer, Me Saddek Chaïb, Me Med Bouninèche, accompagné de son junior,

La justice a définitivement tranché
Car, il faut vite le souligner, l'accusé Oultache, pourtant, très, très mal en point physiquement par la «faute» de ce sacré et maléfique diabète, à tel enseigne que le juge Hamiche a joué à «l'humain» en offrant une chaise à l'accusé Oultache, excellemment placée au-dessous de la charmante greffière qui était arrivé dans la salle d'audience, encadré par une solide brigade de jeunes et costauds gendarmes et de flics, très vigilants, et pour cause. C'était le 3ème procès du genre. Après avoir écopé de la peine capitale, puis de la réclusion à perpétuité, nous voici pour un troisième procès, après que les chevronnés magistrats eurent décelé un vice de forme allant vers un énième douloureux procès, pour les familles. Celle de la victime, d'abord, en l'occurrence, la veuve d'Ali Tounsi, et de son fils meurtri, qui se sont déplacés d'Hydra (Alger), et de la femme, et des trois filles, dont une s'est déplacée des USA,, où elle bosse comme médecin, et du neveu. Le tribunal criminel mené de main de maitre, par le jeune, et déjà expérimenté, Hamiche, a fait honneur à une justice pourtant si décriée, dans un passé pas si lointain.

De Quoi j'me Mêle

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