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La tournée du jeudi

Il arrive, en visitant une localité, de penser au retour, à rendre visite à nos amis avocats. C'est ainsi que jeudi après-midi, nous avons effectué une visite de sympathie au bâtonnier M.F. Ksentini, qui recevait sur rendez-vous. Après le traditionnel accueil que réserve à chaque ami de passage, Me Ksentini évoqua avec insistance ses collègues disparus récemment. Il ajoutera avant de nous séparer, que ces confrères resteront dans les esprits de tous les partisans d'une justice sereine, juste et surtout indépendante. Puis en arrivant à Koléa, il nous a été agréable de nous rendre au cabinet d'avocats de la valeureuse famille Nouas. Le patriarche Me Radouane Nouas, le papa, qui revenait du tribunal d'El Affroun, était entouré des ses deux «louveteaux» Me Mahdi Nouas et Me Abdelghani Nouas, en train de préparer les sorties de la semaine prochaine sur la cour d'Alger, le tribunal d'El Attaf, et le tribunal de Larbàà. Si Me Radouane s'en ira à Larbaâa (cour de Blida), l'ainé, Me Mahdi Nouas se déplacera sur la capitale, qu'il redoute pour son infernale et interminable circulation, alors que le cadet des Nouas, Me Abdelghani s'envolera vers El Attaf, où une grave affaire de moeurs et de chantage l'attend, pour qu'il puisse étaler sa valeur malgré son jeune âge!
D'ailleurs, il a tenu à nous accompagner, heureux de notre visite, jusqu'au véhicule garé à proximité de la route de Blida, bien loin du cabinet. Sur le chemin du retour, nous regagnâmes Boufarik, via Maktàà-Kheira. Dans la ville des agrumes, pour arriver au centre-ville, c'était franchement une rude bataille contre les chauffards pressés, et inévitablement, les amateurs de la fameuse et populaire zlabia, dont la renommée tient bon malgré l'intox.
Arrivés au niveau de la grande avenue des centenaires platanes, que les responsables de l'APC de l'époque, il y a de cela plus de quinze ans, voulaient carrément étêter, n'était-ce la farouche détermination des habitants qui s'étaient levés comme un seul homme, pour faire fléchir la fausse vision des élus du moment. Heureusement, que l'Etat veillait, et la décision de l'époque, n'avait que du bon, pour enterrer définitivement cet affreux et moyenâgeux projet. 

De Quoi j'me Mêle

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