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Affluence sur les laboratoires pour les tests PCR

L’autre réalité du Covid

Les prix oscillent entre 2.000 et 2.500 DA, inférieurs au plafond fixé par le ministère de la Santé, mais restes chers.

Les épidémiologistes et infectiologues s'accordent à affirmer que l'affluence sur les tests rapides de dépistage du Covid-19 aiderait à briser la chaîne de transmission de l'infection.
Lors de la réunion extraordinaire, tenue mercredi, consacrée à l'évaluation de la situation pandémique dans le pays, le Président Tebboune avait donné des instructions au Premier ministre, ministre des Finances et au ministre de la Santé à l'effet d'assurer la disponibilité des tests de dépistage, tous types confondus et en quantités suffisantes, tout en facilitant l'accès des citoyens à ces tests dans toutes les régions du pays et en toutes circonstances.
Le chef de service d'épidémiologie et de médecine préventive à l'Etablissement hospitalo-universitaire (EHU) de Sétif, Pr. Slimane Laouamri a expliqué «l'affluence sur les tests rapides, d'ailleurs moins chers que le PCR, par le spectre du variant Omicron». Se faire dépister est une attitude louable notamment si elle est suivie par une détermination à se faire vacciner, a-t-il affirmé. De son côté, Dr Abdelhalim Chachou, président de l'Association des laboratoires d'analyses de biologie médicale, a fait état d'un nombre important de tests antigéniques, entre 100 et 200 au quotidien, enregistrés ces derniers jours au niveau des laboratoires après la hausse des contaminations au variant Omicron, indiquant qu'environ 70% des cas sont testés positifs.
Cependant, Dr. Chachou s'est dit navré de ne pas voir ces résultats figurer dans le bilan rendu public quotidiennement par le ministère de la Santé sur le nombre de contaminations, un bilan basé uniquement sur les tests PCR. Il a estimé, par ailleurs, que les résultats de ces analyses «ne seront efficaces qu'en respectant les normes établies, c'est-à-dire qu'elles doivent être faites entre le premier et le cinquième jour d'une éventuelle infection pour la confirmer», relevant à ce propos l'impératif de les compléter par des analyses «PCR» en cas d'apparition des symptômes qui peuvent être dangereux pour la santé du patient.

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