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«One,two, three, viva l'Algirè!»

Qui va rebondir?

On passa à côté en coupe d'Afrique, et en Coupe du monde 2022, de Doha! Pour les éternels pessimistes, ce fut une catastrophe! Il fallait pour le «chef», partir et vite.

Depuis le mois d'octobre 2022, le calme est revenu dans les rangs des capés de l'EN et Djamel Belmadi, le sélectionneur des Verts, s'est aussitôt remis au boulot, sans tambour ni trompette. Et lorsque nous parlons de l'entraîneur en chef, nous sous-entendons tout le staff au complet. Parallèlement, les «aboiements» des uns et des autres, continuent à polluer l'atmosphère de ceux qui les écoutent, les suivent, en haussant les épaules, ou se rongeant les ongles de désespoir, en les écoutant. Les roucoulements des éternels mécontents, n'ont jamais arrêté un train qui roule, et atteint sa vitesse de croisière. Le but étant pour les Verts, le retour aux commandes de l'Afrique, et il n'est pas interdit de se fixer d'ambitieux objectifs, les plus farfelus soient-ils! Rappelons- nous le fou rire qu'avaient eu les «pessimistes» de toujours, lorsque l'entraîneur national avait dit haut et fort, au début de sa carrière, qu'il allait remporter le trophée de 2019! Nous connaissons la suite, en plus des rencontres où les Fennecs étaient restés, invaincus! Puis, ce fut le déclin passager, de tout l'équipage du commandant de bord, Djamel Belmadi. On passa à côté en coupe d'Afrique, et en Coupe du monde 2022, de Doha! Pour les éternels pessimistes, ce fut une catastrophe! Il fallait pour le «chef», partir et vite. Tout effacer, et reprendre à zéro, du gardien de but, à l'ailier droit! C'est-à-dire de Ouahab Raïs M'bolhi à Riyad Mahrez! Mais, c'était méconnaître la ténacité de Belmadi, qui a bien voulu rendre le bien pour le «très bien» au peuple, et l'appellation émane du ministre du bonheur, lui -même! Il a bien voulu garder le «gouvernail» du vaisseau Algérie, en apportant quelques retouches à l'équipe, en attendant le rajeunissement appelé par le «peuple»! On ne remercie pas un Adlène Guedioura, un Djamel Benlamri, un Sofiane Feghouli d'une manière amère, et peu cavalière! Non, la vive et belle reconnaissance d'un peuple vis-à-vis des joueurs qui ont trop, et tout donné, alors qu'ils étaient en super forme, mérite mieux! Il est temps pour la famille sportive en général, d'apprendre à remercier ceux qui ont porté et défendu les couleurs nationales, d'une manière plus appuyée, conforme aux traditions séculaires de notre peuple, dans tous les domaines! Quant aux moches grincheux, ils sont libres de dire n'importe quoi, libre d'être la voix de leurs maîtres, celle des chaînes hostiles aux Algériens! C'est ça la démocratie, ce mot d'essence «grecque » que nous voulons à tout prix, qu'il fut, algérien, ne nous va pas! Oui, laissons la démocratie pour un autre mot que les générations futures choisiront! Mais enfin, passons, c'est la mode d'être suivistes des autres, ces autres, qui ne nous aimeront jamais, de ceux qui ne peuvent, ou ne veulent pas nous sentir. Combattons plutôt le mal qui se trouve en nous! Il n'y a qu'à repasser des séquences du dernier match, gagné 2-1, par les nôtres, face aux jeunes Nigérians, pour s'apercevoir de la bassesse de commentateurs, de plateaux TV, qui passèrent sous silence, la passe millimétrée de Ramiz-Larbi Zerrouki, effectuée en direction de Youcef Attal, qui battit le portier visiteur d'un maître tir des 40 mètres. Le jeune et talentueux Zerrouki, qui ne parle même pas l'arabe, le tamazight et le français, semble heureux de cet état de fait, et c'est bon pour le moral. De joueur «normal», à joueur trop lent, ils peuvent continuer à le descendre en flammes, il restera là-haut, perché, tel un coq, tirant la langue, comme pour les remercier de ne pas s'adresser à lui dans une langue hors de leur portée. S'attaquer à un joueur de 22 piges, et parler de rajeunissement de l'EN, est le double, et incompréhensible discours type des «hassadine » ou si vous voulez: «Ce sont des envieux qui ne vous veulent pas du bien, et qui essayent de vous saper le moral, en vain! » Ramiz - Larbi Zerrouki, est un jeune brillant qui a une famille en Hollande et en Algérie. Gardons-nous de les respecter, un point, c'est tout. Youssef Belaïli, est un des dignes fils de l'Algérie. Soutenons-le, c'est tout le mal que cet espace lui souhaite. Ouahab Raïs M'bolhi, Aïssa Mandi, Islam Slimani, Sofiane Feghouli, Riyad -Karim Mahrez, Hocine Benayada, et les autres jeunes, font partie des meilleurs enfants de notre pays. Et lorsque nous évoquons le rajeunissement de l'effectif, cela ne veut pas dire «liquidation» des anciens. Au passage, une sympathique pensée, est lancée en direction des Bouden L'Hmedi, Mouldi Aïssaoui, Nasser Guedioura, le papa de l‘inoubliable et irremplaçable Adlène, Fodil Megharia, Chaâbane Merzekane, le brillant gardien, héros d'Oumdurman, Faouzi Chaouchi, à tous les internationaux qui se sont retirés sur la plante des pieds, sans un hommage mérité, et là, nous pensons aux générations des Coupes du monde et d'Afrique, 1982, 1986, 1990, 2010, 2014! Merci, à vous tous, fils de familles qui avez défendu l'Algérie, plus qu'il ne vous a été demandé! Et pourtant, durant ce temps, les dirigeants bricolaient, se chassaient, se martyrisaient, se ridiculisaient les uns, les autres, oubliant qu'ils dirigeaient simplement, un jeu: le foot! Ce football tant chéri par les foules, qui ne se ressemblent pas toutes. Chez nous, le foot est devenu un moment de règlement de comptes, derrière quoi, se terre le fric! Ah, cet argent! Ce pognon qui pourrit tout sur son passage. Ce qui nous fera écrire sans état d'âme, que nous n'avons rien en commun avec ceux-là, les amateurs de foot, dont le ‘'dieu'' est l'argent, et le ‘'prophète'', est le dinar, l'euro et le dollar! Nous continuerons à parler foot, à écrire football, à respirer foot, à expirer football, sans trop faire attention à ce que soutiennent les «imbéciles», les connaisseurs de tout, en foot, alors qu'au contraire, ils ne savent même pas soutenir un débat sain portant sur l'unique discipline mondiale qui nous réjouit sainement! Dans près d' une semaine commencera la Word-Cup de Qatar, où nous serons absents, mais suivrons les matchs sur le petit écran et nous savourerons les «exploits » de ceux qui nous confisquèrent notre légitime place. Nous vous promettons de relater les trois comptes rendus, des usurpateurs, de ne rien manquer des phases ridiculisantes, laissées sur place, en guise de pardon! 

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