{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

«1, 2, 3, viva l'Aljirè!»

Nous sommes les meilleurs pour nos adversaires

À quelques heures du coup d'envoi de la CAN 2023 qui se tiendra à Bouaké (Côte d'Ivoire), du 11 janvier au 13 février prochain, les Algériens dignes de l'être, «se tiennent les côtes» de frayeur, ou par superstition, avant de voir les Verts, fouler le gazon du stade ivoirien. Ce n'est pas tant techniquement que les fans craignent ce 1er match, mais beaucoup plus les conditions météorologiques, et le reste qui enveloppe l'environnement de cette prestigieuse fête du foot africain. Tout a été entrepris par l'État pour que ce «safari» ivoirien se déroule dans les meilleures conditions. Et lorsque nous écrivons tout, nous pensons aux moyens et au matériel déployé pour réussir le pari.
Les joueurs, surtout les nouveaux et les plus jeunes, ont devant eux une occasion unique d'écrire leurs plus belles pages en ces deux ½ mois hivernaux. Évidemment, nous n'avons pas pris en compte les éventuelles magouilles, qu'ont dû préparer certaines équipes, qui ne peuvent briller que par la présence des «coulisses», en pratiquant le sport roi de la planète. Pour notre part, nous nous en fichons de ces malsains et nocifs procédés. Ce qui nous importe le plus, ce sont les fantastiques chevauchées victorieuses des «Fennecs»! Enfermés sur la concentration des joueurs autour de ce nous pouvons réaliser durant ce tournoi africain, les pseudos spécialistes en foot, continuent à déverser leur venin contre tout ce qui s'apparente au coach national, Djamel Belmadi. Jusqu'à quand? C'est une honte «noire» pour ces malsains gredins. Ils auraient pu, quand même, d'abord, se passer momentanément de leurs acerbes critiques, souvent infondées, ridicules et à proscrire, au plus vite! Qu'est-ce à dire sur ce que déclarent, toute honte bue, certains crétins malfaisants, qui ont sorti la tête de l'eau, joué aux trouble-fêtes, le temps de la durée du tournoi. Les uns se parent de l'habit de spécialistes en foot.
D'autres prennent leurs désirs pour de la réalité, en faisant croire à l'opinion publique qu'ils sont des As. En quoi peuvent-ils faire croire aux initiés qu'ils détiennent la vérité. Si c'était le cas, ils auraient eu l'honneur de diriger un club, fut-il de seconde zone. Non, ils sont toujours là où il ne faut pas.

L'humble Belmadi...
Prenant des exemples nus comme leurs pieds, à la sortie d'une douche, ces Messieurs prennent leurs désirs, pour ce qu'ils ne seront jamais. Djamel Belmadi les a invités à rejoindre le terrain, en vue de mettre en oeuvre leurs schémas tactiques, par exemple, vainement. Ils sont et demeureront des entraîneurs de «Plateau- TV», ni plus ni moins! Mais leurs faux calculs ont été et seront pour l'éternité, démentis par les brillants résultats de Djamel Belmadi, l'humble coach national, que les adversaires appellent «l'arrogant». Oui, ces sinistres personnages ignorent cependant que notre peuple, surtout celui du foot, est un fin connaisseur. Mais il a ceci de particulier: il aime bien «accompagner le menteur jusqu'à la porte de sortie»!
Il écoute bien, mais parfois, il cesse d'entendre, donc de suivre ces charlatans. Il veut bien croire ces fauteurs de troubles, à condition que ce qu'ils avancent, soit vérifié sur le terrain. Ils savent très bien que l'EN est en pleine mutation. Ils savent très bien aussi que 75% de l'effectif sont au bord de la limite d'âge pour les prochaines joutes, y compris les éliminatoires de la prochaine Coupe du monde, qui doit se tenir de l'autre côté de l'Atlantique. Mais rien n'y fait. Ils se cramponnent à leurs noires idées, à leurs vains espoirs, de voir cet empêcheur de tourner en rond, tels des vautours, le ventre creux, au-dessus de l'imprenable FAF, située à Dély -Ibrahim, et dans l'imperméable périmètre de Sidi Moussa (Alger). Combien de fois n'avons-nous pas entendu des pseudos- ex-internationaux, donner des leçons à leur seigneur Djamel Belmadi, surnommé à juste titre d'ailleurs, le «ministre du bonheur»? Oui, ils ne peuvent même pas se déplacer sur le terrain, prendre leurs responsabilités, et engager un juste bras de fer, avec le coach national. Le plus curieux, c'est que ces beaux parleurs, on ne les rencontre dans aucun club, en train de mettre sur pied une tactique de jeu, un fond de jeu, ou un truc qui les ferait sortir de l'anonymat.
À propos, savez-vous que le Monsieur qui a ramené, il y a quelque temps, une info «capitale», qui était, toujours selon cet énigmatique et bizarre type, un grand scoop, à savoir «que le grand Riyad Mahrez, ne pouvait plus marcher, et donc, qu'il fallait le laisser tranquille». Cette ridicule et fantastique info, a mis dans la gêne les responsables de la chaîne qui demandèrent donc à l'auteur de cette bévue, de se «cacher» le temps que les téléspectateurs l'oublient. Et bien à la veille de la CAN 2023, revoilà le Monsieur qui revient, comme s'il n'avait absolument rien déclaré comme bêtises, sur cette même chaîne. Un autre «ex- Petit international» éternel remplaçant, a lui aussi été sollicité par un immense club pour redresser une fâcheuse situation. Il prit l'équipe par le mauvais côté, et failli entrer dans un mur, et emporter le «Onze» cher aux supporters, qui eurent le sursaut nécessaire, à savoir menacer d'une marche dévastatrice pour chasser du périmètre de l'équipe, ce prétentieux -nul technicien du football.
D'autres exemples sont à mettre à nu, en vue de sensibiliser les responsables, élus et sponsors sur la gravité de la nuisible présence de tels charlatans, à la tête des staffs techniques. Par contre, les grands entraîneurs, véritables seigneurs de ce sport roi, eux, se sont vus démis de leurs fonctions, dès la seconde défaite de la saison. Et plus encore, ya Allah, il y a ce dangereux phénomène de l'apport d'entraîneurs étrangers. Combien sont-ils actuellement, en exercice? Pour certains, avec le riche effectif qu'ils ont, entre les mains, les résultats ne peuvent leur échapper.

Les gros scores, les meilleures preuves
Mais, attention, la saison est encore longue! Les équipes s'arment, elles aussi. Elles aiguisent lentement leurs longs couteaux, et s'apprêtent à aller au feu à la 1ère occasion, croiser le fer, et tenter de renverser l'ordre des choses. Regardez un peu le déplorable état d'équipes dites « à tradition de gros succès». Elles font peine à suivre.
Les gros scores en fin de matchs en sont les meilleures preuves que ces «ensembles d'étoiles ramassées çà et là», ne formeront jamais une équipe prête à tous les défis. Là aussi, les pouvoirs publics ont tout fait pour relever le niveau, mais pour certains, le manquement d'encadreurs, et de dirigeants font que rien n'avance. La solution réside dans le «réservoir-jeunesse», oui, même pour l'administration des clubs, il est plus que grand temps, de rajeunir.
L'exemple le plus «aveuglant», est, pour le moment, l'actuelle fédération menée par ce jeune Walid Sadi, le dynamique président de la FAF. Des idées neuves à ne pas en vouloir, d'audacieuses initiatives ont déjà émané de la part du boss de la FAF. Reste les animateurs du «dehors» du cercle du périmètre de l'EN. Prenons un exemple frappant, lié aux éventuels «Onze» préparés par Djamel Belmadi. Pourquoi donc cette idée saugrenue de tendre un micro vers les gens passants par là, et leur demandant de former l'équipe qu'ils voudraient voir jouer en Côte d'Ivoire? C'est de la gaminerie de dernière zone.
Vous aurez compris que nous avons eu autant de teams, que de réponses. À proscrire, donc, comme pour la désignation du meilleur joueur de tous les temps. Il n'y en a pas. Ça n'a jamais existé. Ce sont les « journalistes fringaouis» qui ont inventé ce concept, difficile à faire admettre, même aux plus naïfs lecteurs. Parler du meilleur joueur de «sa» génération, oui. Finalement, nous avons effectué un petit tour d'horizon, histoire de mettre les pieds dans l'eau, dans le terrain du stade de Bouaké. Bonne chance, faites-vous plaisir les «Fennecs», bon vent, et à bientôt.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours