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À propos de la greffière qui…

Dans une de nos précédentes éditions, de l’année 2018, nous avions évoqué la présence d’ une ancienne greffière de la Cour suprême qui faisait la pluie et le beau temps, dans les dédales de l’illustre Institution et donc, nuisait à la bonne marche des services, venait de quitter les lieux, après avoir bénéficié de la retraite . Des magistrats sont outrés, qu’elle fut « libérée », sans avoir eu son « conte » ou ses « comptes » ; et ils nous l’ont fait savoir. Mais, chaque pièce ayant son revers, il faut être juste quand l’oubli est là, increvable, portant atteinte à autrui. Alors, tentons un correctif : à la lecture des lignes dénonciatrices, des amis magistrats et greffiers ont attiré notre attention sur le manque d’informations de cette énergumène, car des fonctionnaires –femmes, avec leur ancienneté, se sont senties visées. À quoi bon transcrire des coordonnées d’une femme de toutes les façons, super-protégée et cajolée, donc, sûred’être, intouchable, surtout que ces sinistres personnages, ces « barons » qui ont tout pour être des impunis ont, à chaque fois réussi à échapper au châtiment, en passant inévitablement, au travers d’un trou de chas . . . Dans l’article sur la Courssuprême, nous aurions dû écrire que la femme en question, était en principe une jeune fonctionnaire ambitieuse qui voulait impérativement, se faire une place au soleil aux dépens de fonctionnaires intègres, bosseurs et dignes. Voilà une mise au point qui mettra un terme aux questions des uns et des autres. C’est clair ? Cependant, il faut dire aussi qu’il y a encore des magistrats, malgré le récent départ d’un bon paquet d’entre eux, qui ont plié bagage pour un très long repos mérité, qui s’échine aux bureaux et chez eux, pour amortir le retard accumulé durant les années de feu de la magistrature. « Nous sommes arrivés en pleine année 2018, grâce aux incessants efforts déployés par des collègues brisés par tant de trimestres d’efforts surhumains. Il nous reste 2019, 2020, 2021, 2022, 2023, et 2024, à traiter. Avec l’arrivée de renforts de « jeunes » magistrats, genre Hadj Mouzali, Ismail Benamara, Leila Ouenoughi-Abdelli, Karim Koussa, Yamina Ammi, Hamid Tahir, et l’intenable Nadia Amirouche, il faut garder la tête froide, devant l’immensité de la tâche. » nous a confié un vieux de la vieille de la « suprême »

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