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Pour la présidence palestinienne

Le veto américain est «immoral et contraire à la volonté internationale»

La présidence palestinienne a dénoncé l’utilisation par les Etats-Unis de leur veto pour empêcher l’adhésion à l’ONU de l’Etat de Palestine en tant que membre à part entière, qualifiant cette démarche «d’immorale et de contraire à la volonté de la communauté internationale soutenant la Palestine». Dans un communiqué repris hier par l’agence de presse palestinienne Wafa, la présidence palestinienne a affirmé que «le veto des Etats-Unis est immoral, injustifié et contraire à la volonté de la communauté internationale qui soutenait fermement l’adhésion à part entière de l’Etat de Palestine aux Nations unies, avec la majorité des Etats du monde reconnaissant un Etat palestinien depuis 2012, lorsque l’AG des Nations unies a voté pour élever le statut de la Palestine au sein des Nations unies».»La politique américaine agressive envers la Palestine et son peuple et ses droits légitimes représente une agression flagrante contre le droit international et encourage la poursuite de l’agression génocidaire de l’entité sioniste contre le peuple palestinien dans la bande de Ghaza et en Cisjordanie, y compris El-Qods occupée, causant plus de tensions dans la région, compte tenu de la poursuite de l’occupation sioniste du territoire de l’Etat de Palestine et de la poursuite des politiques d’agression et de crimes de guerre parrainées et soutenues par les Etats-Unis d’Amérique, qui ont constamment utilisé le veto contre les droits de notre peuple». Ce veto «ne brisera pas notre volonté, ne stoppera pas notre détermination. Nous n’arrêterons pas nos efforts. L’Etat de Palestine est inévitable, il est réel», a lancé en pleurs l’ambassadeur palestinien à l’ONU Riyad Mansour. «N’oubliez pas que quand cette session sera ajournée, en Palestine des innocents continueront à payer de leur vie et de la vie de leurs enfants, le prix des actions israéliennes, (...), le prix d’un retard de la justice, de la liberté et de la paix», a-t-il déploré dans une intervention qui a provoqué des larmes dans la salle du Conseil.

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