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Protection des droits des enfants

L’Unicef sonne au ministère des Finances

Les problématiques du genre et de l’enfance sont prises en charge dans le cadre des réformes budgétaires.

Soulevant le rôle central qui incombe au secteur des finances, dans la protection des droits des enfants, le ministre Laaziz Faïd a souligné lors de sa rencontre de mercredi avec la directrice pour la région Ména auprès du Fonds des Nations unies pour l'Enfance, Mme Adèle El-Khodr, que «la protection des enfants en Algérie, dans son sens le plus large, est un droit consacré dans la Constitution du pays et par conséquent, tous les moyens financiers et humains lui sont mobilisés pour que l'enfant algérien puisse naitre et grandir dans un environnement lui garantissant ses droits au bien-être et à l'épanouissement». Des précisions qui visent à redéfinir et rappeler les principes fondamentaux et immuables de la nation, dans une nouvelle configuration sociale et économique, ou l'action du secteur des finances se précise justement à travers ces opportunités de collaboration, avec les organismes internationaux. La visibilité des nouveaux indicateurs de développement ne se limitant pas aux seules avancées dûment chiffrées, le développement humain, l'amélioration de l'environnement social, et de la prise en charge des préoccupations des citoyens, traduisent également l'ampleur des changements opérés. Ces derniers se sont articulés autour de la restructuration des institutions dans le cadre d'une relance économique qui vise au-delà de la concrétisation des objectifs fixés, l'instauration de la stabilité sociale. Autrement l'amélioration des indicateurs économiques demeure indissociable d'une avancée sociale. En ce sens ou l'amélioration du cadre de vie des citoyens reste en soi un indicateur de profonds changements. À ce titre, la préservation des droits des enfants et les financements qui lui sont nécessaires, s'inscrivent également dans les priorités des fondements de l'Algérie nouvelle. L ‘objectif étant de consolider davantage l'action inhérente à la protection des droits des enfants, et rendre visibles les capacités financières qui sont consacrées pour son développement. C'est dans cet ordre d'idées, que les multiples actions du secteur des finances dédiées au volet du développement humain, s'inscrivent également dans le repositionnement de l'Algérie sur l'échiquier international. C'est dans ce sillage, que le ministre a tenu à expliquer que «les problématiques du genre et de l'enfance sont prises en charge dans le cadre des réformes budgétaires. D'où l'intérêt d'élargir la coopération avec l'Unicef, afin d'y inclure de nouvelles thématiques se rapportant à ce domaine et qui pourraient hisser les performances réalisées par notre pays aux meilleurs standards internationaux, notamment en matière de financement du développement humain, où l'Algérie se positionne à un niveau appréciable dans le rapport onusien qui lui est consacré annuellement». Devant ces éléments qui confirment sans ambiguïté, le début d'une ère économique et donc sociale, l'importance des ouvertures vers l'extérieur, véhicule l'aboutissement à des arguments d'échanges et de coopération plus qu' appréciables, et susceptibles d'ouvrir de nouveaux horizons et de créer des opportunités pour le développement de tous les domaines. Dans ce sillage, Mme El-Khodr a indiqué que «le nouveau cadre de coopération du Système des Nations unies pour le Développement durable, couvrant la période 2023-2027, est un engagement global qui couvre plusieurs axes de coopération et servira de base pour inscrire les projets d'appui technique évoqués lors de cette rencontre». 

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