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Productions télévisuelles nationales

Le soft power algérien en marche

Une véritable fenêtre sur l’Algérie, qui a également permis au potentiel créateur et génie innovant des Algériens, quant à transmettre la culture algérienne au monde entier.

L'espace d'un Ramadhan, particulièrement différent, le «soft power» algérien à l'honneur aura brillé de mille lumières. L'un des vecteurs les importants de ce «soft power» qui, a séduit un nombre important de «followers» des sites algériens, sur les réseaux sociaux et autres, aura été la production télévisuelle nationale...Traditionnellement, le mois sacré du Ramadhan offre de grandes opportunités et d'occasions pour la production télévisuelle et même cinématographique. Un mois où l'activité cinématographique et télévisuelle est particulièrement prolifique. Cette année, précisément, une panoplie d'activités a garni le mois sacré du jeûne avec, en prime, des prouesses admirables et une sacrée dose de créativité. Un détail qui a fait la différence et renforcé l'aura du cinéma et de la production télévisuelle nationale. Mais ce n'est pas tout. Quand on parle de «soft power», cela nous pousse à évoquer cette nouvelle image de l'Algérie véhiculée par ces vecteurs et supports du pouvoir doux auprès de l'opinion publique arabe, musulmane et même africaine. Une image renouvelée profitant d'une aura algérienne, de mieux en mieux, renforcée et déployée dans le Monde arabe, musulman et africain avec lesquels les intérêts et les objectifs convergent. Tout cela, grâce à une série d'évènements et un enchaînement de faits heureux qui se sont succédé, au cours de ces dernières années dans le pays. L'espace d'un mois sacré, les plateaux de télévision, particulièrement les «Qaâdates» des soirées ramadhanesques, ont renvoyé de belles fresques sur les coutumes et les us des Algériens durant le mois sacré du jeûne. Une véritable fenêtre sur l'Algérie, qui a également permis au potentiel créateur et génie innovant des Algériens, quant à transmettre la culture algérienne au monde entier. Cette année, particulièrement, les télévisions nationales qu'elles soient publiques ou privées auront contribué à exporter une image fabuleuse de cette Algérie belle et rebelle aussi. Une Algérie où il fait bon vivre et se projeter dans l'avenir. Dans l'ensemble, les chaînes de télévisions algériennes ont rehaussé l'image de cette Algérie fière et altière par ses enfants, riche par ses différences et son héritage plusieurs fois millénaire, forte par ses pluralités culturelles, artistiques, régionales, géographiques, linguistiques et civilisationnelles. Les Algériens auront cessé, l'espace d'un nouveau Ramadhan, de regarder ailleurs. Car, les chaînes de télévisions algériennes, sans exception, qu'elles soient publiques ou privées ont permis l'embarras du choix aux spectateurs. Contrairement aux années précédentes, la production télévisuelle algérienne a imposé son empreinte dans un contexte arabo-musulman marqué par une concurrence acharnée et déloyale, faut-il le noter. Un monde où se disputaient, depuis une éternité, les grandes marques déposées de productions cinématographiques et audiovisuelles entre les plus anciennes télévisions et fabriques arabo-musulmanes. Certaines grandes nations comme l'Égypte, la Turquie, le Liban et la Syrie auront dominé le monde cinématographique arabo-musulman, des décennies durant, grâce à une industrie culturelle hégémonique. Des nations qui ont réussi à imposer une hégémonie particulière sur les autres pays arabes et musulmans, à travers ce «soft power». Aujourd'hui, cette hégémonie semble devoir céder le pas à une nouvelle forme d'expressions et de productions culturelles et artistiques, différentes et originelles dans le Monde arabe. Cela, grâce à une brèche ouverte par la profusion des chaînes de télévisions et l'évolution de la qualité des productions audiovisuelles. La planète Algérie s'est frayé son petit bonhomme de chemin dans ce vaste chantier avec des pas, visiblement, sûrs. Mais le chemin reste ardu et parsemé d'embûches. La diversité des programmes de télévision a permis d'imposer une image restaurée d'une Algérie qu n'a rien à envier aux autres nations arabes. Des plateaux de télévision animés par des artistes algériens, dans leurs diversités, et des présentateurs chevronnés, rompus aux techniques modernes avec de sacrées doses de créativité. Questions décors, concepts et idées originales, il n'y a rien à redire. De loin, Samira TV a été la chaîne qui a, le plus, honoré l'Algérie durant ce Ramadhan. Avec beaucoup de prestance et d'excellence, la chaîne de cuisine, à l'origine, aura renvoyé une image de grande marque de ce qu'est l'Algérie et ses coutumes. Mais ce n'est pas l'apanage de cette seule chaîne. Le groupe Echourouk a également brillé aux côtés d'autres chaînes comme Jeel TV, El Bahia TV, El Bilad TV, Ennahar TV, Al24 TV, sans oublier les chaînes de télévision publiques qui ont contribué à cette oeuvre de promotion nationale.

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