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«1, 2, 3, viva l’Aljirè!»

De la ligne «jaune» à la ligne «rouge», à l’homme en «noir»

Ce qui est seulement malheureux, c’est que les gens qui critiquent le coach, sont d’accord sur tout, sauf l’arbitrage.

Depuis très longtemps, en football, notamment l'arbitrage et les arbitres, appelés affectueusement, «hommes en noir», ont toujours, été de tout temps, critiqués par tout le monde. Vaincus et... vainqueurs! Dans n'importe quel stade du monde, l'arbitre est souvent l'objet d'abjects quolibets. Alors n'en faisons pas une tartine. L'arbitrage évolue dans une certaine nébuleuse, où souvent la monnaie locale, disons aussi, l'universelle, sont les «pousse-à-l'aventure», souvent dramatiques, sanglantes et meurtrières, des compétitions.
Le phénomène ne date point d'aujourd'hui, et est né avec le football. Ce qui est seulement malheureux, c'est que les gens qui critiquent le coach, sont d'accord sur tout, sauf l'arbitrage. Ce dernier leur sert d'estocade, au moment voulu. N'est-ce pas Belmadi? À l'occasion de la sortie d'Aliou Cissé, le coach sénégalais, qui a rappelé une énième fois le mauvais arbitrage, lors des matchs se déroulant en terre africaine, il a par ailleurs soutenu fortement Djamel Belmadi, qu'il trouve juste dans ses analyses, et crié à la halte de cette mascarade arbitrale africaine ne soit pas assez soutenu par les responsables en place, du foot national. En tout cas, nul ne peut arrêter ce tsunami qui fait, mine de rien, des ravages au sein des fans africains. L'arbitre est seul maître sur le terrain! Sur tous les terrains, oui, tous les terrains, de l'univers. Qu'on se le dise et répercute! Il faut seulement rappeler que le foot reste un jeu, simplement, où le vainqueur et le vaincu obligés de ne se plier qu'aux règlements généraux, eux-mêmes pondus par «l'International Board».
La loi footballistique, seul maître à bord
Cette sacrée loi typiquement sportive, et universelle, qui a toujours plané au-dessus des villes, villages, stades, arènes et des hommes, a laissé traîner des lois divulguées en vue de faire avaler aux adversaires de se «taire» devant les décisions de «Monsieur l'arbitre», installé par la loi «footballistique, comme, seul maître à bord. Même l'intrusion de l'ogre «VAR», qui est venu aider, et être d'un sérieux coup de main à «Monsieur l'arbitre». Ce dernier, sous sa cape noire (symbole de «justice»), était «naïvement», peut-être, assuré et rassuré d'être enfin, débarrassé des inutiles et éternelles protestations! Ces protestations, souvent ne servant aucunement les acteurs qui ne finissent pas de rechigner, ou à redire sur des coups de sifflet, pas toujours justes n'ont jamais servies à quoi que ce soit. Cette affirmation n'existe que si lorsque le joueur, pas toujours au fait des lois du jeu, aura tout appris au fur et à mesure, qu'il s'enfonce dans sa rude carrière, la critique devient alors, tributaire, du changement d'attitude du fan qui croit à tort, aux errements, aux erreurs involontaires, ou pas, de l'arbitre. Nous gardons en mémoire les gestes déplacés de joueurs qui entrent sur le terrain marquer des buts, ou en faire marquer, qui se retrouvent en train de gesticuler, crier, ameuter les fans, à faire les cent mètres derrière le referee qui ne veut rien entendre, et refuse de plier aux supplications, et même menaces émanant des joueurs, devenus, en dix secondes, des «shérifs» rémunérés, d'une large prime afin de tenir bon dans les moments difficiles! Résultat de ces effrénées et vaines courses, derrière «Monsieur l'arbitre», dans le vide, et c'est le cas de l'écrire, pour mieux faire admettre la vérité du jour, la lassitude physique entre en jeu et c'est le début de la fin d'un rendement maximum de ces joueurs «Zorro»! Ces joueurs trouvent deux secondes pour se tenir lourdement, les hanches au bout de cinquante-cinq minutes, essoufflés, éreintés, vidés d'avoir ainsi galopé sur le terrain, pas toujours accueillant dans tous les sens, sauf derrière la balle, et de l'envoyer dans les filets! Alors, chers amis lecteurs, à quoi bon tout ce cinéma? Les affreuses images des actions de tentatives d'agressions, ou d'agressions caractérisées, demeurent indélébiles dans l'esprit des fans. Depuis toujours, la violence a souvent prévalu. Nous avons eu le triste privilège d'assister à des fins de matchs dignes de scènes de «films d'horreurs», ou de «péplums» où les joueurs endossaient les tuniques de gladiateurs, aidés en cela par des dirigeants infréquentables, et surtout par des excités appelés honteusement «supporters»! Quand un arbitre aura sifflé, acceptons sportivement, ses décisions, parce que tout le monde le sait très bien, «Monsieur le referee» ne reviendra jamais sur ses décisions! Donc, il est plus qu'inutile de contester! C'est comme cela et pas autrement! Nous n'évoquerons pas, aujourd'hui, les gros mots et expressions déplacés, insultes, indignes injures, tentatives d'agression, voire carrément gratuites agressions, les innombrables et intempestifs arrêts de jeu, les toutes dernières fautes et erreurs d'arbitrage en date, qui nous ont frustrés.
Aider au mieux l'arbitre...
Alors aux amateurs de bobards inutiles, nous leur disons de se serrer au mieux, la ceinture et de se calmer, afin de ne pas se mouiller avec l'équipe de cet impitoyable mais juste et impartial, président qui ne badine jamais avec la discipline, le respect des lois du football et la joie de faire respecter les lois universelles! N'est-ce pas l'ex-grand, respectable et respecté dirigeant et surtout inconditionnel fan qui a tenté contre l'équipe voisine, de se frotter en tentant de «parloter» avec l'arbitre lequel avait carrément et obstinément tourné le dos à toute discussion, et a même changé de lieu, avec ses copains, pour s' éloigner des ennuis. La commission a, par la suite, donné sa part de sanction qu'il méritait, car ce dirigeant, ex-star universelle, n'est pas n'importe qui en sport national, et même international!
Il ne fallait pas qu'il se donne en spectacle, même en «causant», seulement avec «Monsieur l'arbitre»! Un mot, enfin sur les anciens arbitres ramenés à grand renfort, et ameutés pour redresser une monumentale «erreur» d'arbitrage, qu'ils soient au moins impartiaux dans leurs jugements, surtout «brosser» en direction de certaines équipes-à- «nombreux fans», car si nous devions passer au crible leurs «glissements sur des peaux de bananes» quand ces referees étaient au sifflet, il y a une vingtaine d'années, que nous n'aurions pas trouvé comme fautes, erreurs, bêtises, et même... Et puis non, n'employons pas de mots qui peuvent devenir gros, insultants, blessants, menant droit au tribunal, avec son chapelet d'humiliantes condamnations, tout cela pour un morceau de cuir que l'on «caresse» n'importe comment. 

De Quoi j'me Mêle

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