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Aides à l’investissement

Des dispositifs efficaces

La PME, la microentreprise et la start-up, sont, aujourd’hui, partie prenante de la nouvelle vision économique.

La promotion de l'entrepreneuriat en Algérie s'est appuyé, ces dernières années, essentiellement sur la l'accélération de développement des dispositifs d'aides à l'investissement, en vue de les adapter à la nouvelle politique économique. Une opération de grande envergure, qui a consisté à réorganiser la structure de fonctionnement, les missions, et les objectifs de l'Agence nationale d'appui et de développement de l'entrepreneuriat l'Anade, l'Agence nationale de gestion du microcrédit l'A,gem, et la Caisse nationale d'assurance chômage, Cnac. Une approche qui vise à redonner à ces organismes un ancrage plus visible et plus important dans le développement économique, l'objectif étant de réamorcer une dynamique d'investissement qui favorise l'engagement du secteur privé dans le développement de l'entrepreneuriat, car il faut dire que durant des décennies, en dépit d'une évolution continue, ces dispositifs ont connu une certaine stagnation de leurs activités. Cela s'explique par le fait que ces organismes représentaient la seule voie pour le processus de l'entrepreneuriat, puisque les projets d'investissement étaient essentiellement financés par les banques. Une configuration qui, finalement, ne servait pas le développement de l'entrepreneuriat, et encore moins la prise en charge d'un rythme d'investissement plus élevé. C'est précisément sur ces axes que la nouvelle vision économique, appuyée par les nouvelles dispositions d'investissement, est intervenue pour conférer aux dispositifs d'aides, un nouveau statut, une nouvelle dynamique, qui reposent sur l'impératif de répondre aux besoins du développement et de la diversification de l'économie nationale. Le fossé qui existait entre les porteurs de projets et l'administration s'est réduit laissant place à de nouvelles procédures et pratiques, portées par le rythme de la numérisation, et notamment par les effets de la décentralisation des institutions. À cela s'joutent les mesures de facilitation d'accès aux crédits bancaires, au foncier économique et l'adoption d'un système fiscal plus adapté aux attentes des investisseurs. Autrement dit, durant ces dernières années, les dispositifs d'aides ont réellement effectué un passage d'un fonctionnement latéralement administratif, à une gestion indexée au rythme du développement économique. Cette mutation de la mission première de ces organismes, marque le début d'une nouvelle ère économique, à travers une activité plus dense et plus ciblée de ces dispositifs. Cette dernière s'est particulièrement distinguée par le volume de coopération et de conventions signées avec les institutions et les organismes financiers, notamment les banques et l'administration fiscale, ce qui a déterminé l'efficacité et l'élargissement du champ d'action des dispositifs en matière de promotion de l'investissement et de l'emploi, mais également en fait de développement et de croissance.

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