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Bouira

Célébration de la Journée de l’arbre

Le programme de célébration de la Journée de l’arbre s’est voulu une occasion d’allier l’utile à l’agréable. En effet, le wali de Bouira a tenu à commencer son programme en présence du P/APW et des responsables locaux par la visite d’une zone d’ombre, la localité d’Ikouchache dans la commune d’Aïn Türk, daira de Bouira. Cette commune compte neuf zones d’ombre. En plus d’une campagne de boisement, les responsables se sont intéressés à des projets de réalisation d’un réseau d’assainissement, long de 2 350 mètres linéaires et pour un montant de 13 millions de DA. La localité qui est pourvue en gaz et électricité a bénéficié aussi de la mise à niveau du CW qui relie le chef-lieu de la commune au village qui aura coûté au Trésor public plus de 3 millions de DA et qui permettra de désenclaver pas moins de 120 foyers. Les autorités ont aussi inscrit l’ouverture d’une piste sur 4 km pour un montant de 5 millions de DA. De retour à Bouira, la délégation s’est rendue au siège du Parc national du Djurdjura. Sur place et en écoutant les explications, le wali s’est dit mécontent du manque de communication et de la fermeture permanente de ce site, au grand public. Pour l’occasion rappelons ce que nous disions depuis longtemps à ce sujet. Alors que Bouira souffre le martyre, du manque d’espace de repos-familles un lieu qui, par le passé, faisait la fierté du chef-lieu de la wilaya avec un parc d’attractions moderne, des espaces verts de repos, est fermé à longueur d’année. L’espace est l’actuel siège de la direction du PND (Parc national du Djurdjura). Cet espace, bien communal a été attribué à cet organisme public pendant la période du terrorisme et eu égard au danger encouru à Tikjda. Depuis et à ce jour, cette direction continue à gérer le parc depuis Bouira. En y entrant, hier, à l’occasion d’une visite officielle en 2017, tout le monde avait remarqué les écriteaux invitant le public à respecter les lieux, à préserver la nature, les bancs installés çà et là. Est-ce que Monsieur le wali sait que cet espace est interdit au public depuis que la direction du parc du Djurdjura a été transférée en raison de l’insécurité qui prévalait à Tikjda ? Le lieu donne l’impression d’un espace privé qui n’est visité et ouvert qu’en pareille circonstance. Les citoyens de Bouira demandent la réouverture de ce lieu réservé aux familles. Il peut être source de revenus et faire nourrir des familles. Situé juste sur les bords de la forêt Errich, destination préférée des Bouiris en ces temps de canicule et lieu d’une activité sportive intense, ce parc s’il venait à rouvrir serait une source de finances pour l’APC et peut nourrir plusieurs familles en y relançant l‘activité commerciale et de loisirs. Il y a deux décennies, le site géré d’une main de fer par feu Boutraâ était la destination nocturne et journalière des habitants de la ville de Bouira.

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