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La jeunesse, un axe de travail primordial

Tebboune côte à côte avec les jeunes

Les jeunes ont accédé à des postes à responsabilités clés dans le sommet et la hiérarchie de l’État.

Le président de la République a réitéré son engagement solennel quant à «confier le pouvoir» aux jeunes. «J'avais axé mon programme électoral à l'époque sur la société civile et les jeunes, auxquels je me suis engagé à confier le pouvoir, et je poursuis cette démarche car ils constituent la majorité en Algérie», a rétorqué le Président en réponse à une question au sujet de la jeunesse. Dans un discours très sobre et, surtout réaliste, Tebboune a rappelé certaines évidences concernant le volet de la jeunesse. Mettant en exergue le rôle des jeunes Algériens dans la promotion de l'économie du pays, le président de la République a rendu hommage aux jeunes et leurs niveaux d'autonomie et d'indépendance dans le domaine de l'entrepreneuriat, de manière générale.
À ce sujet, Tebboune évoquera face à ses deux invités les cas de ces jeunes qui «désormais veulent qu'on les aide à lancer leurs propres projets plutôt que d'obtenir un emploi». Aux yeux du Président, une telle attitude positive des jeunes aura permis à l'Algérie de «devenir un leader dans la création de start-up en Afrique», confiera-t-il. Une vérité bien ancrée sur le terrain et une réalité palpable, depuis ces dernières années, à travers divers programmes gouvernementaux, mais aussi à travers des décisions présidentielles judicieuses et bien adaptées. «Candidat des jeunes» lors de la présidentielle de 2019, Tebboune a affirmé, dans ce cadre, que «la confiance placée dans les jeunes avait permis à l'Algérie de devenir un leader dans la création de start-up en Afrique». En effet, si on prend l'axe des start-up, dans sa première phase et la deuxième qui est en cours, le programme a vraiment captivé l'attention des jeunes pousses.
Le programme a connu réellement une avancée notable sur le terrain, avec l'entrée en lice du secteur universitaire et l'accroissement des opportunités offertes aux talents et jeunes pousses universitaires. Il faut l'avouer, Tebboune a réellement insufflé une dynamique nouvelle au secteur de la jeunesse, à travers des décisions idoines et des projections réussies. En misant sur le secteur des start-up, qui connaît un réel engouement auprès des jeunes, surtout après l'annexion de l'enseignement supérieur au programme, Tebboune a réussi un challenge de choix. En l'espace d'un peu plus de deux années, l'Algérie se voyait déjà occuper la deuxième place en Afrique en termes de nombre de start-up actives, en 2023. Avec plus de 5 000 start-up recensées sur le territoire national, dont près de 1 100 ont obtenu le label «Start-up» ou celui de «Projet innovant» et plus d'une soixantaine d'incubateurs actifs sur le terrain, le programme des start-up constitue, effectivement une étape importante dans la concrétisation des engagements du président de la République. Les jeunes, ce gisement intarissable de la nation que le président de la République a su écouter, mais aussi séduire, reprend confiance en son pays et son avenir. Indéniablement, les décisions de Tebboune ont apporté un plus dans la prise en charge des préoccupations des jeunes et la motivation de pans entiers des différentes couches juvéniles. Il est important de souligner la mise en place de deux nouveaux jalons, qui viennent soutenir les intérêts de la jeunesse dans la chaîne institutionnelle nationale. Il s'agit de l'Observatoire de la société civile (Onsc) et le Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ) créés tous les deux au cours de l'année 2021. Les deux nouvelles institutions sont en passe d'instituer de nouvelles us et pratiques, notamment dans l'implication des jeunes dans les prises de décisions engageant leur avenir. Sur le plan politique, les jeunes ont accédé à des postes à responsabilités clés dans le sommet et la hiérarchie de l'État. Cela, sans compter l'accession aux commandes des assemblées locales et de wilayas. Les jeunes reprennent confiance progressivement, à la faveur de ces réformes courageuses engagées, sur un laps de temps très réduit, sous la supervision directe du Président.
Pour ce qui est du terme «Aâmi Tebboune» attribué au Président par les jeunes, Il dira en substance,: «J'ai toujours eu une affection particulière pour la jeunesse de mon pays, et ce surnom reflète la relation paternelle que j'ai avec eux et témoigne du retour de l'Algérie à ses origines.»

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