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La recherche scientifique dans l’économie nationale

La seule voie de l’émergence

L’enseignement supérieur a renforcé sa contribution dans le développement de tous les secteurs.

Au-delà de ses missions principales, en l'occurrence, l'enseignement et la recherche scientifique, le secteur de l'enseignement supérieur oeuvre depuis des années à faire de la création de richesses un axe central des ces activités. Il faut dire que ce dernier a connu de sérieux coups d'accélérateur, ces dernières années, à travers la mise en place de mécanismes et de formation dédiés à l'entrepreneuriat et à l'accompagnement des étudiants dans le lancement de leurs projets. Une approche qui a eu des effets inédits sur le développement des capacités d'adaptation du secteur aux exigences socio-économiques en vue de se mettre au diapason avec la nouvelle politique économique. L'objectif étant d'aboutir à une université 4.0 susceptible d'avoir un ancrage important dans le développement des secteurs stratégiques tels que l'économie de la connaissance, l'industrie et l'agriculture, pour ne citer que ceux-là. Il y a lieu de souligner que l'enseignement supérieur à traversé des étapes importantes, ces dernières années, sous les effets de la numérisation, qui est passée de la digitalisation des services pédagogiques, à la création de banques données pour booster l'initiative et baliser les processus de création de richesse. Un accompagnement qui s'est avéré des plus déterminants dans le passage de l'université au rang de secteur pourvoyeur de solutions et d'outils au service du développement économique. Il faut dire que si l'étudiant avait la possibilité de lancer son projet en fin de son cursus, il n'en demeure pas moins, qu'aujourd'hui, il a le champ d'action nécessaire pour développer son activité et contribuer aux actions de la transition économique. À ce titre, les résultats de cette approche se sont exprimés par des réalisations plus que probantes, puisqu'au demeurant le secteur abrite près de «96 incubateurs d'affaires, plus de 3 000 espaces pour les start-up et plus de 100 centres de développement de l'entrepreneuriat (CDE)», ayant concouru à l'enregistrement de «1 700 projets destinés à la formation de microentreprises et de l'obtention par 405 projets d'un label et de plus de 1 400 brevets d'invention». Une assise de fonctionnement et de développement qui permet à tous les porteurs de projets de développer leur activité dans un environnement où les perspectives sont visibles et prometteuses. De la start-up à la microentreprise, la promotion de l'entrepreneuriat et de l'initiative passe également par des organismes stratégiques tels que l'Anade, pour apporter des réponses concrètes et opérationnelles aux attentes des promoteurs. Cette synergie entre le secteur de l'enseignement supérieur et les programmes de développement économique, renseigne sur l'importance des défis à relever, et sur les opportunités à saisir, mais surtout sur la qualité et la pertinence des actions de réformes menées, ces dernières années. Autrement dit, le secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, est en phase de jouer un rôle plus que central dans la confirmation de la nouvelle dynamique économique à travers le développement continu des métiers et des secteurs de l'avenir, et à travers le renforcement des mécanismes de fonctionnement des secteurs en cours de réformes profondes. En somme, le secteur de l'enseignement supérieur renforce sa contribution dans le développement de tous les secteurs, en vue de confirmer le rang de l'Algérie en tant que leader de l' économie régionale, et en tant que destination d'investissement, qui renferme tous les ingrédients de partenariats et de développement dans les secteurs les plus prisés, tels que celui de l'économie de la connaissance. 

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