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Classement du Produit intérieur brut des pays africains

L'Algérie dans le Top 3

Son PIB devrait atteindre près de 270 milliards de dollars en 2024...

L'Algérie troisième puissance économique d'Afrique. Elle détrône le Nigéria pour monter sur le podium. La première place est occupée par l'Afrique du Sud suivie par l'Egypte. Le rang qui revient à notre pays n'est pas du tout usurpé au vu de la dynamique affichée par plusieurs branches de son économie même si le secteur pétro-gazier en demeure sa colonne vertébrale. Une belle performance qui s'ajoute à deux autres toutes récentes. La Compagnie nationale des hydrocarbures pointe, en effet, à la première place du classement des 500 meilleures entreprises africaines publié le mois dernier. Avec des revenus de 77, 325 milliards de dollars, elle s'installe sur le toit de l'Afrique. Son chiffre d'affaires est pratiquement quatre fois plus élevé que celui de son poursuivant immédiat: l'entreprise pétrolière nigériane Nnpc. Il faut savoir aussi que l'Algérie fait partie du podium des plus grands pays africains producteurs de pétrole de l'Opep au premier trimestre 2024. Un rang qu'elle a conservé puisqu'elle l'a occupé en 2022 et en 2023. Malgré les coupes volontaires auxquelles elle a procédé dans le cadre de l'accord Opep+, pour soutenir les cours de l'or noir, l'Algérie reste donc dans le Top 3 des plus grands pays du continent producteurs de pétrole, membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole. Rien d'étonnant donc si à l'avenir on la retrouve aux premières loges du classement des pays les plus riches du continent. Avec un Produit intérieur brut qui avoisinerait les 270 milliards de dollars en 2024 selon les toutes récentes perspectives du Fonds monétaire international. Ce qui devrait conforter les projections du président de la République qui avait annoncé un PIB autour de 400 milliards de dollars en 2026 lors de son entrevue périodique avec les représentants des médias nationaux, diffusée dans la soirée du 30 mars dernier sur les Chaînes de télévision et de Radio nationales. la concordance des chiffres avancés par les institutions financières et économiques internationales, à l'instar de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI) avec les chiffres officiels nationaux, concernant le taux de croissance estimé à 4,2% en 2023, ce qui se veut «une reconnaissance de la part des instances internationales», avait été souligné, à cette occasion par Abdelmadjid Tebboune. Le FMI la prévoit autour de 3,8% en 2024. Selon sa définition classique le produit intérieur brut est le principal indicateur de la mesure de la production économique réalisée à l'intérieur d'un pays et l'un des agrégats majeurs des comptes nationaux. Le PIB reflète donc l'activité économique interne d'un pays et la variation du PIB d'une période à l'autre est censée mesurer son taux de croissance économique. Il faut rappeler que le Fonds monétaire international avait publié, la veille de la sortie médiatique du chef de l'Etat un communiqué particulièrement élogieux sur l'état de l'économie nationale. L'institution de Bretton Woods avait, en effet, salué l'engagement de l'Algérie en faveur des réformes économiques et de la viabilité budgétaire, tout en soulignant la «robustesse» de ses performances économiques enregistrées en 2023. La croissance de 4,2% en 2023 de l'économie algérienne représente «une performance robuste» due à un rebond de la production d'hydrocarbures et à de solides performances dans les secteurs de l'industrie, de la construction et des services, avait souligné l'institution financière internationale réputée à ne pas distribuer, à tout-va, des bons points ajoutant que «les perspectives à court terme sont globalement positives» pour l'économie algérienne. «La croissance réelle devrait rester forte en 2024», affirme le FMI. Ce qui a été confirmé lors des réunions annuelles du FMI et de la BM, qui se sont déroulées du 15 au 20 avril à Washington. Les avancées économiques contribuent à placer l'économie du pays sur une trajectoire prometteuse de croissance durable et inclusive, a souligné le directeur du département Moyen-Orient et Asie centrale du FMI, Jihad Azour, lors des échanges qu'il a eus avec le ministre desFinances, Laâziz Faïd.

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