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«1, 2, 3, viva l’Aljirè!»

Pire que des masseuses de «hammam...»

Pour certains, actuellement, le Mouloudia Club d’Alger, est le «borgne au pays des aveugles». Certains fans des autres clubs algérois, le répercutent par dépit, ou simplement, par inopportune jalousie!

Depuis que le ballon rond fait plaisir à des millions de fans à travers la planète, il a existé un «front» de gens malintentionnés qui sont là, à dénigrer les gars qui s'occupent des affaires du foot. Il y a aussi les techniciens, les arbitres, délégués qui n'échappent pas aux tirs nourris de ces gars, de véritables parasites, bons à ne relever que ce qui ne va pas. Le problème est dans le fait que certains cadres et joueurs de foot, étaient de véritables fils de famille. Ils supportaient mal les critiques émanant de certains gars au niveau bien bas. Nous prenons le cas du seul «géant», Amara Charaf-Eddine, un grand cadre émérite-polyglotte, aux yeux clairs à souhait, pris à partie par, allez disons, et écrivons sans crainte, le terme, des va-nu-pieds! Et les exemples sont légion. Il faut vite préciser que le monde du foot a régressé dans toute la planète. Et comme l'Algérie fait partie intégrante de la planète, il nous faut accepter cette malheureuse situation. Un autre exemple qui a été enregistré cette année encore, relève de l'utopie. En effet, la majorité des matchs du Championnat national se sont déroulés devant des parterres quasi vides, à part les évolutions du Mouloudia d'Alger, qui ont eu lieu devant un public record. C'est le «Mouloudia», un club qui court depuis un bon bout de temps derrière un trophée, mais sans «guide» réel! Or, il semble que l'année 2023/2024, avec un entraîneur tout juste moyen, soit la bonne. Pour les sportifs sensés, le véritable objectif à atteindre, reste la course derrière la Ligue des Champions africaine. En attendant, les mauvais esprits qui ne reconnaissaient rien au M C Alger, depuis des années sportives, aient marqué une pause, histoire de voir le Mouloudia, grandeur nature en éliminatoires des poules, en coupe africaine. Pour certains, actuellement, c'est le «borgne au pays des aveugles»!
Un professionnel n'insulte jamais un adversaire
Les fans des clubs algérois le répercutent par dépit, ou simplement, par jalousie! Actuellement, les papotages se font rares, du seul fait que les fans sont constamment occupés à rechercher des poux dans les tronches de nos vaillants arbitres, et celles des membres de la FAF. Ça parle. Ça bavarde. Ça suppose. Ça fait des calculs pour ce qui est du titre de candidats au podium. Étant entendu que le titre, de champion d'Algérie, de la saison 2023/2024, est déjà attribué au MC Alger, sauf impossible miracle, inattendu accident, ou un moche truc comme on n'en voit qu'une fois tous les mille ans. Les journées de foot national s'égrènent inexorablement vers un verdict annoncé des mois plus tôt! Il y a dans l'air, comme un ennui intrus, qui a forcé la porte, et s'est confortablement installé dans la planète «foot». Les bavards tirent de ces histoires à dormir debout. Pour le moment seuls le CR Belouizdad et le CS Constantine, tentent de rattraper le retard en points sur le leader. 12 points sur le CSC, et 14 sur le CRB, qui a deux matchs en retard! Un CRB qui connaît pas mal de problèmes de «maintien de l'ordre à la maison», genre expulsion de Sofiane Bouchar, qui a intérêt à serrer la ceinture, pour rester maître de ses nerfs, s'il désire terminer la saison proprement. Un professionnel n'injure, ni n'insulte jamais un adversaire, surtout en cette sacrée période «ramadhanesque, mois de la piété et de l'adoration d'Allah!»
Ouvrons une toute petite parenthèse pour dire deux mots sur certains «youtubeurs» qui franchement disent n'importe quoi, autour du définitif départ de Djamel Belmadi. L'histoire écrira ce qu'il s'est vraiment passé à l'issue de l'élimination des «Verts», en été, de la dernière coupe d'Afrique en Côte d'Ivoire! De la rapide, pas «élection» mais «nomination» de Walid Sadi à la tête de la FAF, pour éliminer Djamel des effectifs des «fennecs», à la version des anti-Belmadi qui n'ont pu que savourer le juste et nécessaire «renvoi» du patron des échecs, le fan normalement constitué n'a jamais avalé ces deux versions.
La FAF comme une carpe filant entre deux eaux calmes
Comme tout a une fin, il était tout à fait certain, que pour les fans de Djamel Belmadi, la situation ayant pris d'énormes proportions incontrôlables, et donc, il fallait qu'il change d'air, pour un autre challenge, ailleurs, loin des magouilles et autres combines fatales pour l'EN! Pour ceux qui étaient contre son maintien à la tête des «verts», on voulait voir sauter sa «tête», et SVP, à n'importe quel prix! Les seconds ont certes, gagné le pari, mais l'EN était épargnée, et bien même, de tous ces remous. Entre-temps, les bobards n'ont pas cessé. Et en veux-tu, en voilà! Le tout se déroulant en plein championnat. Un championnat si décrié, que les amateurs de foot propre, de beaux buts, de belles phases de jeu, de magiques feintes, d'irrésistibles dribbles, ont peu à peu déserté les gradins des stades, dont certains sont devenus d'authentiques coupe-gorges! Il n'y a qu'à assister aux sorties de spectateurs désabusés, frustrés par, assez souvent un inattendu résultat, survoltés, et Annaba en est le dernier type, pour vous dégoûter à jamais, d'assister dorénavant à un match de football!
En face, la Fédération algérienne de football est muette, comme une carpe filant entre deux eaux calmes. Seuls les dirigeants chargés de la discipline sur et en dehors des stades, s'en tirent pas mal. Dans moins de deux mois, le football africain va reprendre ses droits, ses peurs, ses ruissellements de sueurs froides, ses sifflets, ses angoisses, ses interrogations, et évidemment, ses tranchantes magouilles, et ses immanquables maudites, «coulisses». Le «peuple» ne voudra que les résultats, et out, la manière! Les antitout, eux, continueront à chercher des poux dans les têtes vides comme des coquilles! La guerre se perpétuera entre les «masseuses de hammams», des masseuses qui n'ont rien d'autre à faire qu'à bavarder, bavarder, bavarder...

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