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Attaques en règle contre cette institution sécuritaire

«Ne touchez pas à la dgsn !»

Ils sont à l’étranger.Ils ont la prétention de croire qu’ils sont des influenceurs. Leurs «papiers» sont monnayables. L’un d’eux a franchi la ligne rouge. Il s’est attaqué à une des institutions de nos corps de sécurité : la Dgsn

«Contrefaçon». Ils sont une poignée. Les francophones sont installés principalement en France. Les arabisants préfèrent l'Angleterre. Ils sont de nationalité algérienne. Ils se disent journalistes. Ils prétendent être spécialisés dans l'investigation. Les uns «fonctionnent» avec comme support un site Web qui n'a rien à voir avec un journal électronique. D'autres postent des vidéos sur la Toile. Tous déversent leurs «scoops» avec comme seul sujet l'Algérie. Pas d'autres «rubriques».
Ils se vantent d'être des enquêteurs, alors que leurs «investigations» ne sont en réalité que des réceptacles d'informations qui leur sont envoyés du pays par des «sources» qui ont, soit des comptes à régler avec d'autres Algériens ou plus largement contre l'Algérie toute entière. Ces «journalistes» cybernétiques ne bougent pas de leurs salons. Bien installés et bien au chaud dans leur «pays de rechange», ils attendent le «courrier» pour le balancer sur la Toile. Leurs «enquêtes» ne sont pas plus compliquées. Ils ont réussi à faire de leurs sites ou de leurs vidéos, une plateforme spécialisée dans la diffusion de scandales en tous genres. Au fil du temps, tous ceux qui ont des rivaux à déstabiliser, en politique comme en économie, envoient à ces plateformes des documents soustraits, soit à l'entreprise publique qui les emploie, soit plus grave, à des institutions à qui ils appartiennent.
Déstabilisation des institutions
Ces plateformes «jouent» sur les jalousies, les ambitions démesurées et les règlements de comptes qui ont cours dans toutes les sphères d'activités. C'est ainsi que des procès-verbaux de réunion confidentiels, des notes internes, des factures compromettantes, etc. se ret-rouvent entre les mains de ces «journalistes investigateurs» qui les exhibent, soit à l'écran de leurs vidéos, soit en fac-similés sur leurs sites Web. Sans état d'âme, ils «frappent» fort, pour développer leur notoriété auprès des incrédules qui les lisent ou les regardent. L'objectif étant de susciter la peur chez tous ceux qui se sentent vulnérables à qui ils fixent, ensuite, le prix du silence. Un chantage et des rançons fixées au cas par cas. C'est la finalité de leur job, qui est de monnayer les «scandales», qui tombent entre leurs mains.
Ils ne rendent publiques que les affaires qui ne leur rapportent pas de butin. Ceci pour la partie purement mercantile de ces «journalistes» 2.0. Pour l'exemple, nous vous livrons une conversation téléphonique au cours de laquelle un pseudo journaliste d'investigation du nom de Abdou Semmar reçoit l'ordre d'un homme d'affaires «d'abattre» un autre homme d'affaires. Vous pouvez l'écouter en cliquant sur ce lien: https://www.youtube.com/watch?v=S5WS06ADOGI. Vous pouvez écouter également comment une victime le supplie pour être épargnée en cliquant sur ce lien:https://www.youtube.com/watch?v=tGe7CE-g-OgVous pouvez voir ce même «journaliste» présenter un «reportage» destiné à «blanchir» l'activité du même homme d'affaires qui «l'arrose». Voici le lien: https://www.youtube.com/watch?v=GpCBeA4zi1E.
Il y a une autre forme encore plus vile dans leurs activités. Plus néfaste et plus dangereuse pour le pays tout entier. C'est la désinformation et les tentatives de déstabilisation des institutions de la République. De notre République évidemment. Au profit de qui? d'officines étrangère, pardi!
C'est ce qu'on appelle de l'intelligence avec l'étrangers. Celle qui cible les institutions de l'Etat. La toute dernière institution ciblée par ce «journaliste investigateur» est la Sûreté nationale que Abdou Semmar qualifie de «repaire de mafia» et «d'associations de malfaiteurs». Pas moins. Du jamais-vu. Même pas en France où les journalistes traitent les sujets les plus sensibles de leurs services de sécurité, sans jamais toucher à l'institution. Comme les policiers «radicalisés» par exemple. Ou encore les dysfonctionnements entre les différents services de sécurité français. C'est le franchissement de cette ligne rouge qui nous fait réagir, aujourd'hui. En livrant à l'opinion publique algérienne les dessous de ces attaques qui mettent en péril notre sécurité au profit d'intérêts étrangers. Sur le site de ce «journaliste», l'ancienambassadeur de France en Algérie, Bernard Bajolet, qui a été ensuite nommé patron des Services de renseignements français, est régulièrement cité avec des extraits de son livre, véritable diatribe contre l'Algérie. La domination de l'espion français sur le «journaliste algérien», se retrouve dans le parcours propre de ce dernier. Non seulement, Abdou Semmar, a eu le «privilège» de publier des «contributions» sur le célèbre quotidien français Le Monde en 2015, dont voici le lien: https://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/01/19/non-les-freres-kouachi-ne-sont-pas-mes-chouhadas_4558817_3212.html. Privilège qu'il ne doit pas à ses yeux bleus. Ils ne le sont pas d'ailleurs. Autre «privilège», il a collaboré avec un journal électronique dirigé par un ancien journaliste de ce même quotidien français sous un pseudonyme féminin de 2015 à 2017 dont voici le lien: https://mondafrique.com/algerie-le-journaliste-abdou-semmar-arrete/. Toujours dans les privilèges, ce même «journaliste» a eu droit à une «promo» sur la chaîne européenne, Euronews, dont voici le lien: https://www.medias-dz.com/medias/euronews-dresse-le-protrait-du-journaliste-abdou-semmar/. Pour avoir quelques décennies de journalisme, nous savons qu'un journaliste algérien n'accède pas aux médias français quand il veut. Il faut être «parrainé». Par qui? Par ceux qui ont les clés de la «maison». Le plus important d'entre eux c'est BHL qui a la mainmise sur tous les médias français. Même quand ce n'est pas lui qui introduit, il a en permanence le pouvoir de chasser ceux qui ne répondraient pas à ses critères. Si Abdou Semmar a accès aux médias français, c'est que forcément il a le sauf-conduit. Mieux, il faut savoir que ce «journaliste» poursuivi par la justice algérienne a été, récemment, exfiltré d'Algérie, tenez-vous bien, par l'ONG Reporters sans frontières connue pour son parti pris contre l'Algérie et les Algériens. Son fondateur et toujours influent n'est autre que son ancien SG, Robert Menard. Ce pied-noir est actuellement maire de Béziers sous l'étiquette du parti de Marine Le Pen. Une exfiltration que Abdou Semmar lui-même a avoué. Cette ONG n'exfiltre pas tout le monde, sinon les harraga ne risqueraient pas leur vie en mer pour rejoindre ce qu'ils considèrent comme «l'eldorado». Ce qui donne à Abdou Semmar une filiation. Une appartenance. Plus crûment une intelligence avec l'étranger.
Le sauf conduit médiatique
Maintenant que le profil de ce «journaliste» est dressé, voyons un peu comment s'est, jusqu'à présent, déroulée sa stratégie d'attaque contre la Dgsn.
Cela commence par de petites «griffes» et sur d'autres supports. Comme l'information qui a circulé sur les réseaux sociaux, du coq qui aurait été arrêté par les policiers algériens parce qu'il incommodait, par son chant du matin, une diplomate étrangère en poste à Alger. Il n'y a que des haineux pour réduire nos fonctionnaires de police à ce niveau là. Juste après l'autre information faisait état de «malaise», voire de «contestations» dans le corps de la police. Suite à quoi la Dgsn a publié un démenti, tout en annoncant sa décision de poursuivre l'auteur de la désinformation en justice.
Abdou Semmar qui fait déjà l'objet de plusieurs poursuites, ne s'y attendait visiblement pas, puisqu'il entre dans une colère noire et annonce qu'il allait s'en prendre au DG même de ce service de sécurité. Aussitôt dit, aussitôt fait. Sauf que cette fois, aucune «pièce à conviction» de ses allégations n'est «versée» à l'article.
Avec des erreurs monumentales sur des lieux. Mais quelle mouche a piqué Abdou Semmar pour s'en prendre à la Dgsn? En «grattant» un peu, on trouve l'objectif de cette désinformation. Comme ces journalistes-supplétifs agissent en réseau, c'est un autre site qui publie l'information «exclusive» du prochain limogeage de l'actuel Dgsn et avance le nom de celui qu'il considère être son remplaçant. Ainsi donc, nos cadres seraient nommés et limogés par Bajolet, Menard et BHL. C'est en tout cas ce que distillent des journalistes comme Abdou Semmar. Mais pourquoi la Dgsn? Parce que nos policiers ont fait un sans-faute dans leur mission de protection des foules, lors des manifestations depuis un an. Comparé aux morts et aux blessés des manifestations des gilets jaunes en France «y a pas photo».
Voilà pourquoi les mentors de ces «journalistes» veulent casser cette belle organisation de nos policiers. Reste tout de même un dernier point.
Ces «journalistes» expatriés devraient nous dire (s'il contestent les rançons), comment et avec quel argent ils vivent une fois qu'ils sont «exfiltrés» de leur pays. Semmar avance un «appel aux dons», avant de remercier les donateurs, «nombreux» dit-il. Il oublie juste qu'ils ne peuvent pas être des Algériens. Ces derniers n'ont que des dinars à offrir, alors qu'il faut des euros pour vivre en France. Alors qui finance Semmar?
Stratégie d’attaque
Qui lui a délivré les papiers de séjour? Et à quel titre? Sachant qu'il ne peut pas être un réfugié politique, car ses délits commis en Algérie relèvent du droit commun. L'opinion publique algérienne n'est pas dupe. Et c'est ce qui la rend plus imperméable à l'intox de ces «journalistes» harkis de la 5ème génération qui n'ont aucun équivalent dans le monde entier.
Vous ne trouverez jamais un journaliste français, ou d'autres pays civilisés, se rendre dans un pays étranger pour tomber à bras raccourcis sur son pays. Heureusement que les journalistes algériens, honnêtes et patriotes, sont plus nombreux que les supplétifs expatriés!

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