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Les rumeurs les donnent en guerre froide

Sadi et Belmadi, unis pour le meilleur …

Fort de son expérience acquise au fil des années passées avec l'ancien bureau fédéral, sous l'ère de Mohamed Raouraoua, Walid Sadi est conscient que seule une bonne entente avec son entraîneur, pouvait donner des résultats probants.

La victoire ramenée dimanche en terre mozambicaine, a été obtenue, grâce à l'intelligence tactique des joueurs, à la bonne lecture du match par l'entraîneur Djamel Belmadi et son staff, mais aussi au sens de responsabilité montré tout au long de ce voyage en Afrique par le président de la Fédération algérienne de football, Walid Sadi. Ce dernier faisant tout pour protéger son groupe et aussi son sélectionneur, était tout le temps présent. Ses rencontres improvisées avec Belmadi et ses interventions justes et réussies à chaque fois qu'il trouvait l'occasion envers les joueurs, ont galvanisé le groupe, à la veille de ce match certes, pas décisif mais très important pour la suite du parcours des Verts dans ces éliminatoires (CM2026). Les mots du président Sadi ont été aussi pour beaucoup dans cette réaction des coéquipiers de Mandrea sur le terrain, malgré les conditions de jeu, il faut le reconnaître très pénibles dans lesquelles ils ont évolué sur le terrain du Stade National de Maputo.

Décidés à aller au bout de leurs objectifs
Fort de son expérience, acquise au fil des années passées avec l'ancien bureau fédéral sous l'ère de Mohamed Raouraoua, Walid Sadi savait que seule une bonne entente avec son entraîneur, pouvait donner des résultats probants. C'est ainsi que l'on apprend qu'il a été d'un apport non moins important dans cette victoire, difficile certes, face au Mozambique. Sadi et Belmadi, unis pour la bonne cause, ont laissé dégager une sérénité sans faille qui n'a pas été sans se répercuter positivement sur le groupe en général. En d'autres termes, cela a donné plus de confiance et d'assurance aux camarades de Nabil Bentaleb, courageux à souhait lors de cette bataille acharnée, livrée contre de féroces joueurs mozambicains, soutenus par leurs supporters, venus aussi en grand nombre au Stade National de Maputo. On doit aussi à la vérité de révéler que Sadi n'a jamais donné l'impression de vouloir larguer son entraîneur, et Belmadi en bon visionnaire, a tout le temps affiché un respect sans faille à son président.
Contrairement à ce que les agitateurs pensent et souhaitent, Walid Sadi et Djamel Belmadi ne sont pas du tout en désaccord, encore moins en guerre froide comme certains ont voulu le faire croire. Quelques intrus malveillants qui prennent leurs caprices pour des réalités, sont allés colporter que le président de la Fédération algérienne de football, attend le sélectionneur national au tournant pour l'évincer et imposer un changement au niveau de la barre technique de l'Équipe nationale.

La CAN et le Mondial 2026 en point de mire
Chose qui n'est pas forcément vraie, si on se fie, bien entendu, aux derrières informations exclusives que nous avons pu avoir à ce sujet. En effet, une source très au fait des affaires de la FAF, nous a révélé que Belmadi et Sadi sont unis pour la bonne cause et prêts à tout pour réaliser leurs objectifs ensemble, à savoir réussir une bonne coupe d'Afrique et se qualifier le plus tôt possible à la prochaine Coupe du monde 2026. «Quel est l'intérêt de Sadi à vouloir provoquer le départ de Belmadi? Franchement aucun! Walid est intelligent et il sait indubitablement que la réussite de la sélection et du sélectionneur est celle de l'Algérie toute entière et aussi la sienne.
Les deux hommes s'apprécient et travaillent la main dans la main pour réaliser les objectifs tracés», nous a prouvé notre source sous couvert de l'anonymat. De bon augure avant le début de la préparation de la prochaine CAN 2024 qui aura lieu en Côte d'Ivoire du 13 janvier au 11 février 2024.

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