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USM Alger

Maaloul refuse de quitter le club

Après avoir pourtant conclu un accord à l’amiable avec les dirigeants usmistes,et quitter le club juste après le match de Magra, le technicien tunisien semble avoir un autre avis.

Les responsables de l’USM Alger, veulent, coûte que coûte, le départ du coach, Nabil Maaloul. Or, celui-ci refuse de quitter le club, à l’amiable, dans la mesure où, il estime qu’il n’a jusqu’à présent pas failli à sa mission.
En effet, pour le moment, sous sa houlette à la barre technique des Rouge et Noir, Maaloul a réussi à remettre l’équipe à la 3e place du podium, à l’orée de la phase retour décisive du championnat, tout en ayant, également, qualifiée sa formation aussi bien en coupe d’Algérie qu’en coupe de la Confédération africaine de football (CAF). Ce qui plaide largement en sa faveur. 
Pour l’ancien sélectionneur de la Tunisie, il semble décidé à poursuivre sa mission puisqu’il n’a raté aucun objectif du club. Par conséquent,  il estime qu’il est en droit d’aller jusqu’au bout de son contrat. 
Cependant, ayant réalisé que les responsables de l’USMA veulent le pousser à la sortie, il a donc décidé d’engager un avocat pour porter l’affaire au niveau de la Fédération internationale de football (FIFA). Et là, il est très important de signaler que le club algérois ne peut pas engager un nouvel entraîneur, tant que Maaloul, qui exige une indemnité de 6 mois de salaire,  n’a pas résilié officiellement son contrat. Encore faut-il aussi faire remarquer, qu’à l’issue du match de mardi dernier face au NC Magra, le coach Maaloul a, certes fait ses adieux aux joueurs dans les vestiaires, mais il refuse d’annuler son bail avec l’équipe du président Sehbane.
Les responsables du club algérois, n’ont pas perdu de temps puisque le futur remplaçant de Maaloul, Marcos Paqueta a rejoint Alger lundi dernier, dans la perspective de succéder au coach tunisien. Et c’est ainsi que ce revirement du coach tunisien, retarde l’installation de l’ex-technicien brésilien du CRB. Or, Maaloul a accepté la première fois en donnant son accord après le match contre l’Olympique Akbou, pour une indemnité de départ de deux mois de salaire qu’il a déjà perçus, tout comme les membres de son staff, à l’exception de Benhaha qui est maintenu dans le club. Puis, coup de théâtre, Maaloul refuse d’apposer sa signature sur le contrat de résiliation.
Là, le paragraphe du contrat sur le sujet stipule que : « Si l’une des deux parties résilie unilatéralement le contrat, cette dernière doit payer un dédommagement de deux mois de salaire. »  La FIFA ne peut que valider la clause inscrite noir sur blanc dans le contrat. 
Du côté de l’USMA , on est sûr que le coach tunisien n’aura pas gain de cause, dans la mesure où, il a bel et bien approuvé dans son contrat que si l’une des deux parties résilie le contrat unilatéralement, cette dernière doit verser deux mois de salaire de compensation.
Et jusqu’au moment où on mettait sous presse, hier soir, aucun accord n’a été conclu entre les deux parties en litige. Le nouveau coach Paqueta doit donc patienter jusqu’à la fin de ce litige pour savoir s’il pourra diriger la barre technique de l’USMA ou pas.

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