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La réunion du Bureau fédéral annulée

La FAF nage à contre-courant

Le BF ne se réunira pas ce jeudi, comme convenu, ce qui va encombrer davantage les armoires de la FAF.

Le Bureau fédéral de la Fédération algérienne de football (FAF), devrait se réunir, jeudi prochain, en session ordinaire. Ordinaire sur le papier, certes, mais très attendue, étant donné que des dossiers chauds étaient à l'ordre du jour. A commencer par l'interminable histoire de mise en conformité des statuts de la FAF avec ceux de la FIFA, le cas des «cumulards» à l'approche de la date butoir fixée par la tutelle, ainsi que la validation des dispositions réglementaires de la nouvelle saison et la, planification des assemblées générales électives de plusieurs Ligues. Autant de dossiers chauds, donc, qui étaient sur le bureau du président Charaf Eddine Amara. Celui-ci devait, en outre, effectuer une virée à El Tarf pour visiter le chantier de l'Académie. Mais à l'étonnement général, Amara a pris une toute autre décision, sans pour autant avancer le moindre motif ni les solutions alternatives. Il s'est déplacé à l'étranger en décidant d'annuler tout ce programme. Il a informé les membres de son bureau de cet état des lieux que nul n'a pu comprendre, d'autant plus que cet état de fait est lourd de conséquences. Tous les dossiers sont, donc, en stand-by, alors que la FAF devait monter une course contre la montre pour régler les dossiers qui commencent à encombrer son armoire. Si l'annulation de la visite d'El Tarf peut s'expliquer, celle du BF ne l'est pas. Ceci, étant donné que l'un des deux vice-présidents de Amara, à savoir Amar Bahloul ou Yacine Benhamza, pouvait prendre le relais et présider cette séance. Et c'est l'article 39, alinéa 6, des statuts de la FAF qui le disent: «En cas d'absence ou d'empêchement provisoire du président, ses pouvoirs sont exercés d'office par le vice-président disponible et le plus longtemps en charge.» Comment a-t-on ignoré cet article et laisser la situation traîner, alors que le ministre de la Jeunesse et des Sports exhorte à faire le pressing pour régler les dossiers en suspens. Amara, dont la gestion est décriée au sein même de son Bureau fédéral, s'attire de plus en plus les critiques, sachant que même les premières pierres de son programme annoncé avant son élection ne sont pas posées. 

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