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Il attend une réponse des autorités depuis…21 ans

Un citoyen victime de «hogra»

Voilà une bien curieuse histoire qui «ressemble», hélas, à tant d'autres non encre élucidées! El Hadi Dif, s'est présenté à notre rédaction pour narrer et «dénoncer» ce qu'il qualifie de «mépris, de marginalisation et de hogra» de la part des autorités compétentes, dont il est «victime depuis...21 ans!»
Dif était bénéficiaire d'un local où il gérait une coopérative de jeunes, autorisée par arrêté de septembre 1994, pour activer dans la restauration rapide au niveau de la Gare routière du 2 mai 1962, à Alger. En association avec un certain Djaffar Chahi, il y constitue, en mai 1996, une Association de jeunes agréée dans le cadre du «Soutien et du suivi aux coopératives de jeunes». du «Gouvernorat du Grand- Alger-GGA». Trois ans plus tard, en mai 1999, il reçoit une notification de démolition de son kiosque de 60 m2, au même titre que 21 autres restaurateurs, vouant ainsi, dit-il, pas moins de 450 personnes, chefs de famille, au chômage. Ces 22 occupants étaient «bénéficiaires», est-il, cependant, «précisé par les autorités compétentes», de locaux attribués dans un «cadre purement social». L'ordonnance 76-48 du
25 mai 1976, est pourtant claire dans ce cas de figure d'«expropriation pour cause d'utilité publique». Elle prévoit, en effet, une «indemnisation préalable, juste et équitable» conformément à la loi.
Après avoir saisi la présidence de la République, en 1999 et d'autres autorités publiques compétentes tout le long de son «calvaire» qui ne dit pas son nom, il est informé du droit d'acquérir un local «en guise de dédommagement» de son local démoli en 1999. L'Egtu lui attribue alors, en l'an 2000, un contrat de location d'un local au Centre commercial «Menani» à Alger-Centre, devenu depuis, selon ses
regrets, «un dépotoir et un lieu de débauche» en pleine capitale. El Hadi DIF, demande, de nouveau, «une enquête approfondie et équitable sur son «affaire» après avoir été lésé dans ses droits, en tant que gérant de coopérative, depuis «21 longues années» et contraint de subir des procédures administratives et judiciaires «humiliantes» à plusieurs titres. Il n'en demeure pas moins que DIF, qui attend un geste «concret» de la part des responsables, fait confiance en la justice de son pays pour «le rétablissement dans ses droits légitimes à travers une commission juridique» dûment constituée.

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