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Tabi sur la bonne voie?

En s'adressant de temps à autre, aux membres élus nationaux, Abderrachid Tabi, le ministre de la justice, garde des Sceaux, certes utilise les concepts juridiques, mais, on sentait, à travers ses déclarations, beaucoup plus le magistrat qu'il était, que le patron du ministère de souveraineté. Répondant à une question d'une députée, relative à la mort d'un détenu à l'hôpital de Béni-Messous (Alger) et non à Koléa (Tipaza), Tabi, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, qui avait un caillou sur le coeur, s'en est vite débarrassé dans sa réponse claire et précise. Meme si certains ont trouvé que les citoyens ont le droit de savoir sur ce qui se passe dans nos geôles! D'autres ont évidemment trouvé là, une occasion en «or» pour tonner sur le régime d'Abdelmadjid Tebboune! Ce qui a apparemment arrangé le ministre, un fan de la liberté d'expression. Il a non seulement dit exactement ce qui s'est réellement passé, car la mort du détenu était naturelle, mais encore, il a dit sa foi, en la capacité des professeurs en médecine et de leurs maitres-assistants! Entre deux phrases, il a aussi rappelé qu'il y a encore dans ce pays, des gens, qui ne croient pas du tout, au «Qadha ouel qadar», rien que pour taper sur l'État algérien et ses institutions! Et à chaque apparition, Tabi se veut transparent et ne laisse aucune chance de critique, aux opposants de l'heure. En effet, les textes présentés aux élus, et au gouvernement, sont l'oeuvre exclusive d'une équipe de juristes algériens, anciens, aguerris, homogènes, chevronnés et compétents! Ils sont surtout, bien placés, bossant avec une réflexion typiquement algérienne, qui fait, bien entendu, plaisir à voir! On est désormais loin, d'oeuvres de «cadres» scribouillards, très fort en recopiage des succès d'autrui, amateurs du «copier-coller», et pas forcément réussis. Les pseudo-oeuvres plagiées sur du travail déjà effectué par des étrangers, qui n'avaient rien de commun, avec les visées nationales! Abderrachid Tabi, le sait très bien, lui, qui, à la Cour suprême, alors qu'il était l'un des adjoints des successifs procureurs généraux, de l'illustre institution, voyait ses lumineux avis, passer à la «moulinette», le temps que les nouvelles et assez souvent sèches mesures, fassent leur effet, avec le temps qui passe assez vite!

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