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Oran, Médéa et Tizi Ouzou, en plein...

La semaine dernière, a été consacrée à trois déplacements dans trois importantes cours de justice du pays. La 1ère aura été celle de Tizi Ouzou, qui garde son statut de Cour «sans histoire». Une juridiction aux saines traditions. D'ailleurs, nus avions rencontré avec un immense plaisir l'ex-bâtonnier, Chellat, assis confortablement au milieu de la salle des avocats, attendant sagement, le début de l'audience criminelle. Le public, nombreux, était très patient, car il avait remarqué le sérieux qui animait le personnel, comme toujours, très vigilant, et serviable à souhait. Le lendemain ce fut le tour d'Oran où nous avions rendu visite à deux tribunaux du centre-ville: deux véritables fourmilières! Surtout le tribunal d'El Athmania, qui bossait à midi trente, car il y avait un fort public qui se pressait aux abords des guichets. Au retour, une virée sur Médéa. Alors que le siège de la Cour est situé à l'entrée de la ville, il n'y aura aucune difficulté à se garer dans l'immense parking de la Cour, au fonctionnement planifié, grâce aux efforts méritoires du duo de chefs de la Cour, Mohand Haddoud, et Zoïeir Talbi, respectivement président et procureur général. Un silence de mosquée un vendredi midi, plane à l'entrée du siège, où vous accueille, le sourire en bandoulière, le vieil agent de sécurité, qui en est à sa vingtième année de boulot. Au rez-de-chaussée, les deux salles d'audience du pénal font le plein de justiciables venus des monts de Béni Slimane, Aïn-Boucif, Berrouaguia, Ksar El Boukhari, Chellallat El Adouara, Souagui, Tablat, et autres Sidi Naàmane, El Omaria.

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