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L’œil au palais

Les éloquents dons du juge
Il y a des moments dans la vie judiciaire où de temps en temps, nous assistions à de magnifiques morceaux d'anthologie dignes d'être rapportés, même vingt ans après, histoire de servir d'exemples à nos jeunes magistrats. " Par exemple, dans les années fin 2000, feu Tidjani Aïssaoui, le grand et compétent magistrat, avait le tic de mettre à l'aise de mettre les couples en voie de désagrégation, par de douces interventions du genre : " Mme et Mr, vous êtes ici pour rompre une belle histoire d'amour, même s'il n'y a pas eu d'enfants pour égayer votre foyer. Bon, c'est vous qui décideriez de votre future situation. C'est pourquoi, je vous invite à vous exprimer librement, sans haine, ni contrainte, en prenant soin d'éviter les insultes, et autres diatribes, afin de garder le meilleur des souvenirs de votre vie passée, dans le meilleur et le pire. Voilà, vous pouvez commencer, Mme. Exprimez-vous librement et sincèrement, en prenant soin d'être précise dans vos propos, que le tribunal espère saines. Quant à vous, Mr, ces orientations sont aussi pour vous lorsque vous aurez à dire le pourquoi de votre grave et malheureuse décision de rompre. " Le président de la section " statut personnel " de l'époque, venait de tracer les grandes lignes de ce procès. Soudain, les deux conjoints se regardèrent, longuement, avant que Kenza. G. L'épouse lève la main droite, avant de déclarer directement en direction de l'assistance, et à haute voix : " Mr le président, on nous avait avertis avant d'entrer dans cette vaste salle d'audiences, que vous étiez sévère et tranchant. (Le président Aïssaoui hoche la tête en signe d'approbation). Personnellement, vous venez de me convaincre de retirer les 1ères déclarations transcrites dans le document." Ce fut autour du mari Abdelàli. G. D'enchainer: " Ma chérie Kenza a tout à fait raison. Je la suis sur toute la ligne. Nous nous excusons, mon épouse et moi, des désagréments causées à l'honorable tribunal. "

Rions un bout
Jeudi dernier, sur la route Blida/Boufarik, un léger cafouillage est formé au niveau du carrefour où un barrage fixe de gendarmes, est là pour rappeler aux usagers, les normes de conduite sur cet axe très bien fréquenté. Mustapha -Farouk Ksentini, le bâtonnier de la ville des " roses " sort de sa voiture et se dirige droit sur celle où se tenait correctement son jeune et jovial confrère de Jijel, Me Abdelaziz Teyar, convalescent, et sorti de chez lui, effectuer une sortie à l'air libre et réconfortant, afin d'emmagasiner le maximum d'oxygène. " Bonjour, très cher confrère, puis-je te rappeler que tu te trouves sur le mauvais tronçon de la route Blida -Jijel. Ici, c'est le tronçon Blida / Koléa. Alors, bonne route, et j'espère que ton séjour parmi nous, durant ces derrières décennies, aura été très bon pour ta famille,
et toi. "

De Quoi j'me Mêle

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