{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Il prénomma son fils comme...

Le procès du fils qui corrigea le papa, las de donner tous les matins de la monnaie de poche, préférant voir son rejeton de fils tendre la main à son vieux père, lequel, bien malade et fatigué, a besoin de lui.
Le père est né le 16 octobre et le fils, le 15 du même mois! Il l'avait pris dans ses robustes bras alors qu'il venait de naître en 1982, mémorable et inoubliable année pour Mohamed Nadjib, car Moustafa dit «Moumous» Dahleb et ses camarades Rabah-Moustafa Madjer et Merzekane venaient de corriger en effet, l'inabordable et presque invincible, équipe de la Mannchaft de l'ex-RFA sur le score de 2 buts à un! Et pour prouver que Mohamed Nadjib adorait cette équipe d'Algérie, il prénomma son nouveau-né: «Lakhdar, en référence à Belloumi, auteur du second et tueur but, marqué sur un centre millimétré de Salah Assad! C'était en 1982!
En 2020, Lakhdar M. était, là, debout face au magistrat qui bougeait la tête de gauche à droite, en parcourant le certificat médical d'incapacité de la maman, comme pour désavouer d'emblée le geste fou et punissable. Il en avait honte! C'est dire l'importance de donner des prénoms de glorieux et exemplaires athlètes nationaux: à propos, quel aurait été le sort du pauvre papa si le fils avait été prénommé «Loucif» en souvenir du super boxeur, Hamani, ex-champion d'Afrique dont les coups donnés par un gauche dévastateur laissaient groggys les adversaires du moment, de Loucif Hamani? A.T.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours