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Depuis 1992, il se bat pour…

Voilà un commerçant sexagénaire de Kouba (Alger) qui joue, semble s'attaquer à des «moulins à vent» comme le fameux personnage imaginaire de Don Quichotte. L'image est peut-être galvaudée, mais c'est ainsi. Imaginez un instant qu'Ali. K. Lutte dans tous les sens du terme contre une tenace femme, fonctionnaire aguerrie au ministère de la Justice, qui prétend être une semi-héritière de feu son oncle, depuis exactement trente-huit ans!
Et en trente ans, il n'a eu de cesse de «se payer» ou plutôt de se farcir, les routes du tribunal d'Hussein Dey, l'ancien Palais de justice de la rue Abane- Ramdane où se trouvait la cour d'Alger, l'Esplanade Emiliano Zapata-Ruisseau, où s'élève l'actuelle cour de la capitale, les arcanes du val d'Hydra où se trouve, outre le conseil d'État, le minuscule siège de l'inspection générale du ministère de la Justice et la Cour suprême,. Cinq présidents de la République, sont passés par là, et le dossier est encore ouvert pour une raison bien simple: une des parties au conflit est une malicieuse et collante fonctionnaire du ministère de la Jjustice, qui savait jouer la comédie d'une victime harcelée par son proche parent qui refuse qu'on lui parle de liens de sang avec cette femme!
L'un de ses nombreux conseils, est parti pour un monde meilleur, sur la plante des pieds, laissant Ali. K. orphelin face à cette véritable furie qui ne veut rien savoir sur le lien de parenté qui les lie!
La villa disputée a été vidée et habitée par les deux parties en présence, simultanément! La semaine dernière, le malheureux était dans les couloirs du ministère, pour remettre une centième lettre de protestation, au ministre de la Justice, garde des Sceaux.
appelons que l'autre partie avait pris le risque de se jeter, en novembre 2020, devant la voiture de Belgacem Zeghmati, alors ministre de la Justice. Ce jour-là, le ministre avait demandé comment cette femme a fait pour savoir l'heure exacte de son arrivée! Ali. K. a pour sa part à chaque fois qu'il rencontrait des embuches pour son affaire, se débrouillait pour faire un scandale indigne de la magistrature: «. Een 1993, la chambre administrative avait débouté cette femme, considérant que c'était l'affaire de la wilaya d'Alger. Quant à la bonne dame, elle s'accroche à l'héritage. «La villa appartient à mon père.»
Entre-temps, en 1985 le désistement du vieux propriétaire avait mystérieusement disparu. C'est un bien de l'État qui a été détourne en héritage! Si je n'ai pas raison, qu'on me signifie par écrit!» nous a -t il confié à la porte du ministère de la Justice. Un malheureux et embué feuilleton, qui n'est pas prêt de se terminer, tant que la loi, les lourdes procédures, et la rancoeur flamboyante du «cessez-le-feu» de la partie adverse, le... permettent!

De Quoi j'me Mêle

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