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Emboîtant le pas au président de la République, le Premier ministre relance l'appel aux juristes de par le monde

«Saisissez la CPI contre l'entité sioniste!»

Ce dialogue continental est «devenu une plateforme importante de discussion et d'échange...»

Première sortie publique du Premier ministre Nadir Larbaoui. La sixième session du dialogue judiciaire africain qui se tient, depuis hier à Alger, a été l'occasion pour lui de réitérer l'intransigeante position de l'Algérie face au génocide barbare pratiqué par l'entité sioniste dans les territoires palestiniens occupés.
Le Premier ministre a réitéré l'appel lancé par le président de la République, à tous les hommes épris de liberté, aux hommes de conscience de par le monde, aux juristes et aux organisations de défense des droits de l'homme en vue d'intenter une action judiciaire auprès de la Cour pénale internationale (CPI) et des organisations internationales de défense des droits de l'homme contre l'entité sioniste pour ses crimes perpétrés à l'encontre du peuple palestinien, particulièrement dans la bande de Ghaza.
Nadir Larbaoui a estimé que «les principes les plus fondamentaux des droits de l'homme sont violés en Palestine occupée en raison de la guerre génocidaire menée par l'occupation brutale contre le peuple palestinien frère».
Le chef de l'Exécutif gouvernemental s'est dit indigné par cette incapacité du système international «à faire respecter les droits de l'homme, et à chaque bombardement dirigé par l'armée d'occupation sur la bande de Ghaza, les valeurs et les principes du droit international humanitaire sont bafoués», s'insurgera-t-il, sous les ovations d'une assemblée de magistrats et d'hommes de loi africains, ainsi que de responsables de la Cour africaine des droits de l'homme et les hauts responsables de l'État algérien.
Larbaoui a, également, rappelé à l'assistance l'appel lancé par le président de la République, à l'occasion de l'ouverture de l'année judiciaire, à l'adresse de «toutes les personnes libres du monde, les juristes, les organisations et les instances des droits de l'homme, afin de porter plainte devant la Cour pénale internationale, contre l'entité israélienne en raison des crimes qu'elle commet contre les Palestiniens, en particulier dans la bande de Ghaza». Il rappellera également les engagements du président de la République, qui a exigé que «la communauté internationale assume ses responsabilités pour assurer la protection internationale du peuple palestinien frère et oeuvrer à mettre fin à des décennies d'impunité, pour les crimes commis contre le peuple palestinien frère».
La question sahraouie n'a pas été en reste dans le discours du Premier ministre, qui a rappelé l'attachement de l'Algérie au droit des peuples opprimés à l'autodétermination. «... Depuis près de cinquante ans, le peuple sahraoui est resté privé de son droit légitime à l'autodétermination, ce qui nécessite un travail continu et des efforts redoublés, afin de mobiliser la solidarité internationale pour activer tous les mécanismes nécessaires pour assurer le respect et la mise en oeuvre des résolutions pertinentes de la légitimité internationale...». Sur un autre registre, Larbaoui a saisi cette occasion pour exposer un certain nombre de points de vue, défendus et adoptés par l'Algérie à l'échelle de l'Afrique, mais aussi à l'avantage du continent africain, notamment pour ce qui est du développement économique. Tout d'abord, le Premier ministre qui a procédé à l'inauguration officielle de cette session au nom du président de la République, a mis en relief les chantiers et les réformes engagés par «le président de la République, il y a plus de trois ans, qui a fait de la consécration de l'État de droit l'un de ses piliers les plus importants».
Ainsi, les efforts consentis par l'État pour arrimer le secteur judiciaire aux standards internationaux ont été cités et explicités par le Premier ministre, qui a confié que «cette voie exigeait qu'une attention particulière soit accordée à la réforme globale de la justice et au renforcement de son indépendance, car il s'agit d'un pilier fondamental pour renforcer le chemin de la construction nationale vers la gouvernance judiciaire et donner le caractère humain au travail judiciaire».

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