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Sa fin inéluctable a sonné

Rachad se disloque

Cette organisation voulait se proposer comme la tutrice autoproclamée du peuple algérien...

Rien ne va dans la demeure de la nébuleuse terroriste du Rachad. La maison brûle, le feu s'empare de cette force occulte qui n'arrive plus à mettre un terme aux scandales et à la dislocation qui l'assiègent et la guettent partout. Cette force occulte qui voulait surfer sur la vague du Mouvement populaire historique du 22 février 2019, ne sait plus à quel «saint» se vouer. Elle est dans une posture semblable à une loque sans défense ni immunité. La vassalité et la duplicité de ce mouvement à la solde de l'organisation internationale des Frères musulmans, sous l'appellation du congrès de la Oumma et ses accointances avérées avec le terrorisme international à travers El Qaïda et Daech, semblent ne plus faire l'affaire et son discours à géométrie variable ne peut plus éberluer ni embrigader les masses crédules et sans bagage politique et idéologique à même de leur permettre de cerner et distiller les enjeux et les objectifs. Fini le temps des choux gras pour la nébuleuse islamiste du Rachad, c'est la fin d'une «saga» faite de mensonges et de fourberies hautement concoctés dans le but de dévoyer la démarche du changement déclenchée spontanément par des Algériens et des Algériennes pour stopper le hold-up politique via un cinquième mandat que l'oligarchie, qui s'étaitt emparée de l'Etat et de ses institutions, voulait consacrer en maintenant le statu quo. Des «illustres» membres et militants de ce mouvement démissionnent en cascade, les échanges d' accusations à propos de détournement de la «cagnotte» de la diaspora qui devait servir comme aide et soutien financier aux familles des détenus ne cessent de prendre plus d'ampleur et d'exacerbation de la crise à l'intérieur de cette nébuleuse qui se prenait pour un mouvement irréprochable et loin de tout soupçon. La casa du Paypal, c'est le nom que beaucoup d'Algériens donnent à ce mouvement comme une manière sarcastique et hilarante pour montrer du doigt les éléments de cette organisation au mille scandales. Le feuilleton de ce scandale à la Rachad livre encore ses secrets qui étaient cachés dans la boîte de Pandore pendant trois années faites d'impostures et de grand mensonge. Le dernier des scandales, c'est bien le chantage fait à ceux qui appartenaient à ce mouvement terroriste de se voir discrédités par cette organisation en publiant des vidéos sur les réseaux sociaux dans une posture compromettante et humiliante. Voilà que la messe de la nébuleuse terroriste du Rachad est dite, une messe faite de chantage des plus éhontés contre des éléments voulant négocier avec le pouvoir et créer un parti légal à l'intérieur du pays. Les noms sont connus sur les réseaux sociaux des gens qui constituaient la matrice de cette organisation islamiste à la solde des officines étrangères et servant comme mercenaires pour semer la déstabilisation et le chaos dans le pays dans le cadre du sinistre «printemps arabe» dicté par les puissances étrangères. La décomposition de ce mouvement a atteint un stade suprême de putréfaction dont l' odeur se propage telle une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. C'est le prix de la trahison et de la traîtrise dont ces éléments mercenaires qui sont payés par le mouvement terroriste le Congrès de la Oumma et d'autres officines étrangères sont en train de subir. Quand la situation prend une allure suspicieuse et de bleuite au sein de cette nébuleuse, cela veut dire que cette organisation vit son dernier «hallali» et que sa feuille du route qu'on lui a assignée n'est plus prenable.
Les éléments de cette organisation qui viennent de regagner le territoire national ont provoqué une véritable cassure à l'intérieur de cette structure qui fonctionne comme une véritable secte. Ce mouvement est plongé maintenant dans une spirale anthropophagie où tout le monde dévore tout le monde.
Sinistre fin pour une organisation qui voulait se proposer comme la tutrice autoproclamée du peuple algérien qui s'est soulevé contre l'injustice et le statu quo un certain 22 février 2019.

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