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Un plan de déstabilisation de l’Algérie déjoué

Pion-Pion etait son nom de code

Une douzaine d’individus engagés dans cette stratégie diabolique, qui agissaient sous les ordres de clans étrangers, ont été arrêtés.

Les services de sécurité exploitant des renseignements vérifiés viennent de démasquer et dénuder le plan Pion-Pion organisé pour déstabiliser l'Algérie sous couvert du Hirak, un mouvement dessaisi par l'organisation intégriste Rachad et certains mouvements qui se prétendent de la démocratie, cependant, une démocratie à sens unique. C'est suite à l'arrestation d'un certain Sofiane Rebai à Oran, la semaine dernière que tout a été découvert. Ce dernier a fait des aveux aussi importants que graves aux services de sécurité dont certains passages ont été diffusés par la chaîne publique. Le mis en cause avoue avoir reçu la somme de 365.000 euros soit 7 millions de centimes comme financement afin d'organiser des marches au nom du Hirak à Alger, Béjaïa, Tizi Ouzou, Bouira, Oran, Aïn Témouchent, Aïn El Baïda, Beni Ourtilane, et Oum El Bouaghi.
Le mis en cause ne manquera pas de balancer les noms de plusieurs personnes à la tête du présumé Hirak, d'ailleurs, des noms connus, mais aussi de certains prétendus militants des droits de l'homme, ayant d'ailleurs reçu des sommes d'argent pour poursuivre le mouvement contre l'Algérie. Ceux-là même ont sollicité un soutien de l'ambassade de France et un droit à l'asile en cas d'échec de leur plan contre l'Algérie. Selon des sources très bien informées, la formation RAJ et le MDS qui auraient également reçu des aides financières de l'étranger, font l'objet d'une enquête au même titre que d'autres organisations impliquées dans la déstabilisation de l'Algérie. D'ailleurs, une formation comme le MDS a fait de son local un lieu de rencontre et de réunion pour décider de la suite des démarches à entreprendre pour faire aboutir leur complot machiavélique.
On a également organisé des réunions comme le confirment nos sources dans une villa à Aïn Bénian à Alger et à Bab El Oued. Les investigations des services de sécurité ont abouti à l'arrestation d'une douzaine d'individus engagés dans cette stratégie diabolique qui agissait sous les ordres de clans étrangers, de France notamment. Néanmoins, certains qui incitent à la violence sont établis aux États-Unis et le nom d'une certaine Meriem Ghazi est revenu plusieurs fois, lors des aveux du mis en cause Sofiane Rebaï. Ce dernier balancera aussi le nom de Farouk Ghandi établi quant à lui en France. Ce n'est pas la première fois que l'Algérie fait face à ce genre de complot.
En 2019, le 30 décembre exactement, le général de corps d'armée, chef d'état-major de l'ANP avait déclaré: «L'Algérie a fait face en 2019 à un dangereux complot contre ses institutions, déjoué par le Haut Commandement militaire, en référence au mouvement du Hirak.»
Une déclaration qui confirmait alors les propos du défunt général de corps d'armée Ahmed Gaïd Salah, avant sa subite disparition. Ce complot, avait précisé le général de corps d'armée, «visait la stabilité de l'Algérie et les fondements de l'État, ainsi que la neutralisation de ses institutions constitutionnelles, pour l'entraîner dans le bourbier du chaos et de la violence».

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