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L’envasement des barrages n’est pas nouveau

La preuve d’une non-gestion

Une gestion des ressources en eau, pour le moins, déplorable.

Un vrai «branle-bas de combat», oserions-nous dire, à voir toutes ces autorités locales et régionales responsables de la distribution de l'eau potable à la population, mettre la «main au feu», sans jeu de mots, juste après les nouvelles et sévères restrictions imposées suite aux nouveaux horaires de distribution, voire coupures, d'eau programmées ici et là. Des programmes de rationalisation de la distribution de l'eau potable décidés à la hâte, un peu partout, des transferts de débit et d'approvisionnement, des campagnes de sensibilisation, sont lancés. Creusement de nouveaux forages, curage d'oueds et de conduites, dévasement de barrages, réparation de fuites qui se souviennent du siècle dernier, fonçages, construction de réservoirs d'eau,...et autres actions encore, relatives aux réseaux de distribution de cette précieuse denrée, sont annoncés partout. Comme par enchantement, à travers tout le pays, via son millier de communes...où «tout allait bien» semble-t-il, se plaisaient à dire certains de nos élus en place, dont les préoccupations des citoyens devaient être leur premier souci et but, pour lesquels ils ont été élus...
Pourquoi donc l'Algérien aime-t-il «pleurer sur la jarre qui est cassée?». Le drame ainsi survenu, était perceptible partout dans le pays, dans les villes, les plaines et les montagnes. Pourquoi nos responsables attendent-ils toujours que «ça casse» pour réagir? Pourtant, les ingénieurs du département des ressources en eau, savent depuis longtemps que nos barrages sont «envasés» outre mesure. Bien sûr, des mesures ont été prises, mais elles ont été insuffisantes pour limiter les dégâts par un reboisement adéquat des coteaux versants. Les études et les contrôles ont-ils été déployés convenablement? Le doute est permis chez le concitoyen dont la confiance en ses dirigeants s'est brisée suite à des bourdes pareilles de programmation, de manque de prévention, de plans de travail à long terme, qui se contentent, aujourd'hui, d'un travail «au jour le jour», dans nombre de domaines essentiels qui pénalisent le citoyen dans son vécu quotidien. Il est opportun de se questionner, à cette occasion, sur le rôle que va jouer le «nouvel élu» des dernières consultations législatives, qui doit tenir ses «promesses» de travail émises durant sa campagne électorale. On verra bien!

De Quoi j'me Mêle

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