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Sensibilisation aux dangers de la toxicomanie

La CNAS met son grain de sel

La Caisse nationale de la sécurité sociale des travailleurs salariés, agence d'Alger, se mobilise afin d'appuyer la politique de lutte contre ce fléau qui se propage dans notre société, notamment en milieu scolaire.

La Cnas, agence d'Alger, a lancé, hier, une campagne de sensibilisation relative aux dangers de la consommation de drogue. Celle-ci se poursuivra jusqu'au 8 juin prochain. Placée sous le slogan: «La sécurité sociale vous accompagne contre les dangers de la drogue», cette initiative placée sous l'égide du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, s'inscrit dans le cadre de la protection des citoyens et des assurés sociaux des dangers des drogues et leurs effets néfastes sur leurs vies et celles de leur entourage. Cette campagne, a vu la mise en oeuvre d'un programme riche en activités axé, notamment, sur l'organisation des journées d'information en direction des étudiants et des stagiaires des centres de formation. Une catégorie qui n'est pas à l'abri des dangers de la toxicomanie.
«Des discours bien étudiés leur seront réservés afin de les prévenir des risques et des conséquences potentiels liés à la consommation de cannabis et d'autres substances», explique un communiqué de l'agence parvenu, hier, à notre rédaction. En marge de cette campagne, un VTR relatif à la consommation dangereuse de la drogue est diffusé en boucle dans toutes les structures de la Cnas et ce, dans le but de toucher toute la population qui se présente. Cette action de sensibilisation, organisée par ladite caisse s'inscrit dans le plan stratégique qui prévoit la réorientation de l'action sanitaire et sociale vers la prévention afin de consacrer son rôle actif dans l'amélioration de l'état de santé des citoyens et les accompagner dans la lutte contre ce fléau qui prend de l'ampleur dans la société algérienne», a précisé le même document.
«La Cnas ne ménage aucun effort pour contribuer à la sensibilisation et à la diminution de l'usage des psychotropes, et ce grâce aux procédures appliquées, qui renforcent la contribution quotidienne des médecins-conseil à l'accomplissement de leurs missions», a conclu le même document.

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