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Goudjil s'exprime sur le 31e Sommet arabe

«C'est un événement capital»

Cette échéance écrira en lettres d'or l'histoire immaculée et honorable de l'Algérie qui a, de tout temps, oeuvré dans le sens de l'unification des rangs.

Évènement politique majeur de l'année, le Sommet arabe se présente comme un couronnement à toutes les actions de déploiement de la diplomatie algérienne. Sa tenue à Alger et le choix de sa date, véhiculent plus qu'une symbolique, mettant en avant l'importance et la gravité de la situation géostratégique de la région.
À ce titre, le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, a salué les préparatifs du 31e Sommet arabe prévu à Alger. Précisant que «cette échéance importante arabe, permettra de renforcer la place de l'Algérie dans le Monde arabe, sous la direction du président de la République, Abdelmadjid Tebboune». Il faut dire qu'autour de cet événement, l'action de la nation arabe se reconstruit sur l'impératif de la réunification. Seule alternative pour faire face aux récents développements de la scène politique internationale et pour réhabiliter la légitimité des grandes questions de l'heure, en l'occurrence, la question palestinienne. C'est dans cette optique que le bureau du Conseil de la nation considère que «cette échéance écrira en lettres d'or l'histoire immaculée et honorable de l'Algérie qui a, de tout temps, oeuvré dans le sens de l'unification des rangs et du soutien à la cause palestinienne». Autant dire que toute l'importance de ce rendez- vous réside dans le ralliement des États arabes autour d'une action commune, visant à repositionner cette nation sur l'échiquier international. Un objectif qui a nécessité des mois de concertations et de rencontres menées par le président de la République avec brio. Les résultats de ces démarches sont désormais visibles à travers l'écho trouvé auprès des chefs d'État arabes suite aux invitations adressées récemment. Il y a lieu de convenir que ces derniers reconnaissent sans ambiguïté les efforts et la position de l'Algérie dans l'émergence de la paix dans la région. Il s'agit des fruits de positions fermes et immuables, mais également des fortes médiations menées avec succès dans les conflits des pays voisins, à l'image de son intervention au Mali. C'est précisément ce «capital» confiance qui vaut, aujourd'hui, à l'Algérie la crédibilité et la force que lui témoignent les pays frères. Un accomplissement aux allures d'exploit, qui survient après des périodes difficiles, où l'Algérie a fait constamment l'objet d'agressions et d'attaques visant sa chute. De la décennie noire, aux complots maroco-sionistes, en passant par le règne de la «Issaba», l'Algérie revient de loin. D'où l'importance, aujourd'hui, d'abriter un événement d'une telle valeur. C'est dans cet ordre d'idées que ce sommet demeure une opportunité en or pour la Ligue arabe de faire peau neuve et de réajuster son action sur les grandes questions de la région. Dans ce sens, le bureau du Sénat explique que «cette échéance se veut une bataille décisive nécessitant la mobilisation de tous les acteurs». L'heure est plus que jamais à l'émergence d'une nation arabe forte, à même d'imposer sa vision sur la scène politique internationale. Autant dire que, ni les printemps arabes ni les pseudo normalisations avec l'entité sioniste, et encore moins la pression de l'Occident, n'ont pu déraciner le fondement même de la nation arabe et la force historique de la diplomatie algérienne. Dans ce contexte, le bureau du Conseil a appelé à «davantage de vigilance pour aller de l'avant et remporter ces paris, sans perdre de vue les entités hostiles, les fauteurs de troubles et ceux qui tentent de se rapprocher des cercles algérophobes».

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