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Une association sahraouie condamne les violations de l'occupant marocain contre la famille du militant Ghali Bouhela

Une association sahraouie a condamné les violations de l'occupant marocain contre les militants politiques et les défenseurs des droits de l'Homme sahraouis, dont la dernière en date est l'encerclement et le harcèlement imposés à la famille du militant Ghali Bouhela, relaché d'une prison marocaine après un an et demi de détention à cause de sa lutte pacifique pour le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. L'association sahraouie des victimes de graves violations des droits de l'Homme commises par l'Etat marocain a affirmé que ces violations flagrantes s'inscrivent dans le cadre des politiques répressives continues et systématiques de l'occupant marocain contre les militants politiques, les journalistes et les défenseurs des droits humains, a précisé l'agence de presse sahraouie (SPS). Elle a, en outre, "exprimé sa solidarité avec le détenu libéré (Ghali Bouhela) et sa famille, qui sont continuellement agressés et encerclés par les forces d'occupation marocaines", tout en dénonçant "les violations continues, l'att einte aux libertés, la politique de répressions et les simulacres de procès auxquels sont confrontés les civils sahraouis". L'association a également demandé "la libération des détenus sahraouis notamment ceux du groupe de Gdeim Izik et le défenseur des droits humains, Yahia Mohamed Al-Hafiz qui sont emprisonnés dans les geôles de l'occupant marocain".Elle a appelé le Conseil de sécurité et l'ONU à faire pression sur l'Etat marocain pour l'amener à respecter les droits de l'Homme et le droit international humanitaire et à mettre fin à ses pratiques répressives, qui portent systématiquement atteinte aux revendications ayant trait sur le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance. Lundi, la police marocaine a encerclé la maison de la vice-présidente de l'Association pour le Contrôle des Richesses naturelles et la protection de l'Environnement au Sahara Occidental, Meriem Bouhela, et a pratiqué des actes d'intimidation contre les membres de sa famille, dans le but de les empêcher de célébrer la libération de leur fils, Ghali Bouhela, incarcéré pendant un an et demi à cause de sa lutte pacifique pour le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. La police d'occupation marocaine a pratiqué des actes d'intimidation dans le but d'empêcher la famille Bouhela de recev oir solidarité et sympathie, en bloquant tous les accès menant à la demeure familiale et en menaçant d'entrer en force dans la maison au cas où une réception serait organisée pour célébrer la sortie de prison de Ghali Bouhela.

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