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Monsieur le juge, pas Madame!

Il y a, comme ça, des interventions à la barre qui font réellement plaisir à suivre.
Il y a même des scènes d' «escrime» entre des conseils adverses pour la bonne cause, qui vous emportent dans l'espace infini du seul droit. Mieux!
Nous assistons souvent à des bras de fer entre le représentant du ministère public, et un avocat sûr de son sujet, à telle enseigne qu'il soulève l'ire du parquetier, pris au dépourvu, et donc, désabusé et dépassé, par tant de talent.
Sans compter les errements des uns et des autres, quand le président de l'audience du jour, est complètement en total déphasage, avec le sujet débattu.
Mercredi dernier, au cours d'une éclatante plaidoirie concernant une rixe opposant des citoyens, une avocate a perdu durant six minutes, la notion du genre de magistrats, qu'elle avait en face d'elle. Est-ce le trac? Est-ce une nouvelle habitude instaurée par une catégorie de rusés, conseils pour déstabiliser l'adversaire?
En tout état de cause, en six minutes, cette avocate lancée par une violente diatribe contre l'inculpé, avait dit, sans se soucier de l'humeur du juge Mounir Ayed, et du sarcasme de Nabila Bekraoua, la procureure, heureuse d'être appelée durant six minutes: «Monsieur la présidente, alors que la bouillonnante plaideuse s'adressait à... Mounir Ayed, qui a, depuis le début du lapsus-linguae, saisi l‘involontaire dérapage de l'avocate!

De Quoi j'me Mêle

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