{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Le dernier mot de Rahal

Parmi les noms des cadres de Sonatrach, trainés dans la boue depuis 2003, et ce, jusqu'au mois de décembre 2022, nous avons retenu celui de Med Chaouki Rahal, un extraordinaire cadre expressément demandé, notamment, par les multinationales yankees, qui a «refroidi son coeur», au moment où Naïma Dahmani, la présidente du tribunal criminel d'Alger, lui avait demandé de prononcer le dernier mot que la loi lui prescrivait. Mais, voilà: pour un dernier mot, Rahal sautera sur l'occasion pour déverser tout ce qu'il avait sur les «aortes», et les tripes, et se délivrer enfin de ce terrible cauchemar, qui se termina par deux acquittements. Le 1er, en 2016, devant Med Regad et le second, en 2002, après cinq renvois effectués par la juge, Dahmani. En 2016, il n'eut pas l'occasion de tout dire en guise de dernier mot, mais en 2022, il ne rata pas l'ultime perche «pondue» par la loi, et tendue par Dahmani. Voici, par ailleurs, un condensé de ce qu'a pu lancer Rahal à l'intention des attentifs et intéressés membres du tribunal criminel d'Alger: Il a, dans la foulée de l'attention soutenue par tous, fait référence à un arbitrage international où Sonatrach a eu gain de cause. C'était Rahal qui l'avait lancé, défendu et hautement gagné. Sonatrach et l'Algérie ont gagné dans la foulée, deux) milliards de dollars.
Les magistrats et les jurés levèrent leurs sourcils en entendant Rahal, marteler ces historiques vérités. Voilà une info qui rappelle hardiment, ce qu'ont donné les anciens cadres et travailleurs de Sonatrach.
Quoiqu'il ait passé sous silence son statut de petit-fils de martyr de la grande révolution du 1er novembre 1954, il n'a par contre, pas manqué l'occasion de souligner le rôle éminemment positif de la prise en charge de la pause, dans les meilleures conditions, des caméras de surveillance de l'entreprise algérienne chère à Djaàfar El Ismaïl, qui n'a pas eu droit à de méritées félicitations, mais à de fâcheuses poursuites, qui ont fait de ce cadre émérite, un ex-détenu et un probable SDF, si l'arrêt de la cour d'Alger, à Allah ne plaise, était confirmé par la Cour suprême.
Voilà ce que nous avons retenu du procès qui s'est déroulé, selon les avocats même, dans d'excellentes conditions.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours