{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Elle m’a battu, puis m’a devancé, pour…

Un couple d'émigrés vivotait tranquillement, jusqu'au jour, où Mr décida de rentrer définitivement au pays, car les études supérieures étaient terminées. Mme refusa, puisqu'entre-temps, elle déposa une demande de naturalisation pour elle et ses deux garçons. Elle attendra longtemps la réponse «négative» des reponsables français! Le pauvre généreux mari fidèle avant qu'il ne décide, de rapatrier sa petite famille, où un brillant avenir l'y attend, croupit désormais en taule, par la faute de l'ex-dame, qui a remis aux autorités du pays,, des documents compromettants, où le faux et son usage, prédominent. Selon ses deux conseils, le malheureux époux est tombé dans un traquenard sans précédent, dans lequel un officier de police serait salement mêlé jusqu'au cou, et, comble d'injustice impunément, puisque le rapport fait par la police des polices, n'a rien donné! La justice, en ce qui concerne la victime, devenue inculpé grâce au diabolique stratagème mis en place par Mme, est carrément «emprisonnée «par l'ordonnance de renvoi. Elle a fait son boulot depuis le tribunal de Dar El Beïda (cour d'Alger) à la chambre correctionnelle où le verdict avait été confirmé. Attendons le pourvoi en cassation... Reste le côté «traquenard», après le divorce et le remariage du mec: il n'en a pas été question car l'ordonnance de renvoi ne l'a jamais évoqué. Evidemment! La femme a joué et gagné en attendant le retour du dossier de la Cour suprême, et ce n'est pas pour demain. Ne reste à la famille du condamné qu'espérer, à savoir patienter. Jamais le fameux adage bien de chez nous et qui signifie en langue française, à peu près ceci: «Ce sinistre personnage m'a agressé, s'est précipité devant les poursuivants, pour se lamenter, avant de se plaindre de coups et blessures ayant entraîné un long arrêt de travail!» C'est, en principe, ce qu'on retient après avoir suivi cette drôle et dramatique histoire, qui a vu un cadre émérite incarcéré, des ouvriers au chômage pour une période d'au moins de deux ans et deux garçons vivant désormais en Europe, avec leur maman divorcée.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours