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Amers et tardifs regrets!

Un vieux juge d'instruction toujours en fonction, actuellement à la Cour suprême, en qualité de conseiller, où il attend, résigné, mais patient, les yeux levés vers le ciel, en guise de demande de pardon pour le mauvais parcours effectué, il y a trente ans de cela, quand il avait une chambre d'instruction, où il n'était pas maître à bord. Il est vrai qu'il n'était pas le seul magistrat à plat ventre, mais pratiquement tous les magistrats et fonctionnaires de l'État, l'étaient, du temps du parti unique. Un jour, lorsqu'il entendait un jeune homme poursuivi pour tentative de vol, pas si évident que cela, car rien ne le désignait, sauf les manoeuvres de la victime, son ex-beau-père. Il est vrai que le vieillard n'a jamais avalé la séparation avec sa fille, la semaine, qui a suivi... l'union des deux familles.
À l'issue de l'audition, il signifia le mandat de dépôt au malheureux, désormais inculpé. Ce dernier lui demanda le pourquoi devant son avocat, impuissant et près de l'abattement, le juge répondit sur un ton qui n'avait rien d'amusant: «Mon pauvre type, écoutez-moi bien: si vous avez une connaissance dans votre entourage, demandez-la vite.
Qu'elle coure rapidement vous tirer du bourbier, où «la loi scélérate de l'interventionnisme» vous a jeté. Pour ma part, j'ai appliqué la loi et je ne peux rien faire d'autre.»
L'avocat qui nous a raconté cette perle rare, a fait dire l'amertume qu'il ressent trente-deux ans après. Triste situation qui voyait, il y a longtemps, un juge d'instruction, svp (!!!) encourager l'interventionnisme au lieu de laisser faire la loi!
Un peuple n'est fort qu'avec une justice puissante qui ne craint ni la force, ni les interventions, et ni l'argent sale d'où qu'ils émanent!

De Quoi j'me Mêle

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