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Algeria investment conference

Une deuxième édition qui voit grand

Zeghdar a décortiqué les principaux axes de la nouvelle loi sur l’investissement.

C'est dans un contexte post-crise sanitaire prometteur, que la deuxième édition de Algeria invest conference (AIC) a pris effet, dès hier, au Centre international des conférences (CIC), à Alger. À l'ouverture de cette messe de l'investissement et du partenariat industriel, le ministre de l'Industrie Ahmed Zeghdar a, dans son allocution inaugurale, longuement abordé la nouvelle loi sur l'investissement. Zeghdar a expliqué que cette dernière lèvera tous les obstacles administratifs qui se dressent devant la création d'entreprises privées. «L'Algérie oeuvre à créer un climat d'affaires attractif de capitaux étrangers, porteurs de technologie et d'expertise», a-t-il poursuivi en rappelant que l'Algérie a dû s'adapter aux lourdes retombées de la crise économique mondiale.
Selon Zeghdar, la nouvelle loi sur l'investissement traduit ce laborieux travail d'adaptation, dicté par le contexte inédit, aux plans interne et externe. «Cette loi apporte un nouveau souffle à l'investissement et à l'amélioration du climat général des affaires», a-t-il dit. Et d'enchaîner: «La nouvelle loi sur l'investissement permettra de développer des secteurs prioritaires et à forte valeur ajoutée. Ceux-ci doivent valoriser les matières premières et les ressources locales, créer des postes d'emploi permanents et hisser les compétences humaines, de même qu'ils doivent booster la résilience et la compétitivité de l'économie nationale et sa capacité manufacturières».
Zeghdar a décortiqué les principaux axes de la nouvelle loi sur l'investissement. Celle-ci a été construite sur trois fondamentaux, à savoir celui de conforter l'arsenal juridique et la stabilité des textes relatifs à l'acte d'investir, en sus des axes propres au cadre institutionnel, en adaptant et en mobilisant les appareils chargés de mettre en oeuvre la politique nationale d'investissement. Zeghdar a particulièrement insisté sur cet autre axe qu'est celui qui a trait à la protection des intérêts de l'État. Notamment la réorientation des intérêts et des stimulis à l'investissement, à travers la restructuration des modes d'encouragement à l'investissement, via des politiques appropriées.
Zeghdar relève que tous les signaux sont au vert, avec des indices économiques qui mettent l'Algérie en orbite pour attirer les investissements.
«L'Algérie est un pays stratégique et un marché incontournable capable d'attirer les investisseurs», a-t-il plaidé, citant plusieurs facteurs, dont la stabilité économique confortés par des indices macroéconomiques probants, des infrastructures de base solides, prêtes à l'emploi et répondant aux normes internationales.
À cela s'ajoute une politique de développement économique claire et ambitieuse, indique Zeghdar qui évoque une stratégie sectorielle qui met en avant une grande ouverture au monde. Il énumère enfin des facteurs de productions compétitifs et de nombreuses conventions d'arbitrages internationaux.

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