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Il a toujours fait prévaloir l’approche patriotique

Le FFS, un parti-rempart

Le FFS a exprimé sa démarcation par la voix de son chef historique, en soulignant que « si les femmes et les hommes de notre pays ont refusé l’abdication et la soumission, c’est qu’ils formaient un grand peuple pour un grand pays ».

La question de l'identité a toujours été conçue et abordée par le Front des forces socialistes (FFS) d'une manière intrinsèque et homogène.
Le discours et la pratique politiques du FFS ont été forgés à travers des luttes dont la portée dépasse les limites d'une région ou d'une conception étroite reflétant une ambition communautariste et éthniciste.
L'identité défendue par le FFS s'inscrit dans le cadre d'une approche nationale et sur fond de pluralisme et de diversité dynamique et historique émanant des profondeurs civilisationnelles de la nation algérienne via ses composantes culturelles, identitaires et historiques qui constituent la personnalité de l'Algérie en tant qu'État et société. Ce paradigme n'a jamais quitté la littérature politique du FFS quant à l'enjeu de l'unité nationale et le spectre de la division, au nom de l'identité. La conception patriotique du FFS s'est toujours manifestée d'une manière claire à l'adresse des forces occultes qui cultivaient un discours et un projet s'inscrivant dans une logique de division. Le chef historique du FFS, feu Hocine Ait Ahmed avait dénoncé, précocement, les tentatives de division faites par des groupes à la solde de l'alliance impérialo-sioniste, dans le but de disloquer la nation et de précipiter le pays dans le chaos et la destruction. Le FFS, à travers son chef charismatique, le défunt Hocine Ait Ahmed, a appelé le peuple algérien à ne pas suivre la démarche qualifiée de «menées aventureuses mettant en péril l'unité du pays».
Les appels formulés par un groupuscule qui s'est autoproclamé détenteur de la représentativité du peuple au non d'une démarche identitariste farfelue et fumeuse n'a (pas) pu trouver le chemin de la perfidie, grâce à la démarche conséquente et patriotique développée par des mouvements attachés aux valeurs de la nation en général et du FFS en particulier. De ce point de vue, le Front des forces socialistes a exprimé sa démarcation par la voix de son chef historique et son fondateur, soulignant que «si les femmes et les hommes de notre pays ont refusé l'abdication et la soumission devant une des plus grandes puissances coloniales, non seulement sur toute l'étendue du territoire mais aussi en France, c'est qu'ils formaient un peuple uni et solidaire. Un grand peuple pour un grand pays».
Cette déclaration forte, dans le sens patriotique, a été consolidée par la direction actuelle qui entérine la démarche de son chef historique, en appelant à la plus grande vigilance et en dénonçant les «semeurs de la haine». L'attachement à l'unité nationale et à la cohésion d'un peuple uni a été consacrée comme maître-mot au sein du FFS, surtout durant l'émergence du Mouvement populaire du 22 février 2019 et la dérive qui s'en est suivie, par l'infiltration de certaines forces dont l'agenda étranger se laissait deviner avec acuité. Depuis, le FFS a durci le ton, en déclarant que «ces conspirations, fondées sur l'instrumentalisation des sensibilités populaires et la manipulation des fibres de la division, visent à porter atteinte aux constantes nationales, à l'unité de la nation et à sa cohésion».
Le discours communautariste et de la haine, émanant des forces qui agitent la fibre identitariste et régionaliste, a été dénoncé fermement et sans ambages par la direction du FFS. À ce propos, le FFS a mis un terme à ce jeu scabreux et dangereux de la division et du «séparatisme», appelant à «faire barrage à tous ceux qui abreuvent les sources de l'extrémisme et de la division dans la société, quelle que soit leur appartenance et leur idéologie», souligne-t-on. La dimension patriotique d'un parti se lit à travers sa pratique et son discours politique. C'est là où l'engagement s'exprime avec clarté et détermination.
Le FFS a assumé une démarche dont les conséquences politiques ne sont pas des moindres, en termes d'existence partisane. Mais l'histoire retiendra toujours que seul l'engagement concret et sérieux à l'égard de la patrie et son unité qui permet d'augmenter les chances d'une existence politique d'un parti, au-delà des calculs étroits et politiciens qui agitent la fibre communautariste et éthniciste, dont l'opportunisme et la perfidie sont les éléments constitutifs déterminants dans une pratique politique vile et de bas étage.

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