Oran
Des récidivistes tombent dans les filets
Le trentenaire faisait l’objet de plusieurs mandats d’arrêt lancés à son encontre et six condamnations prononcées contre lui.
La chasse aux grands bandits, notamment ceux en état de fuite, se poursuit implacablement. En fuite des années durant, ces derniers finissent par tomber dans les filets leur ayant été dressés par les policiers en dépit de tous les artifices qu’ils ont mis en place en se cachant. Les derniers en date sont constitués de quatre malfrats récidivistes âgés entre 30 et 40 ans, ces derniers faisant l’objet des recherches lancés à leur encontre par la justice pour des chefs d’inculpations liés au banditisme et autres délits qu’ils ont perpétrés. «Ces arrestations sont le fruit de la densification des recherches lancées contre les individus en question qui sont demandés par la justice», a-t-on appris.Le coup a été « perpétré » par les policiers de la 3e sûreté urbaine ayant exploité d’importants renseignements soulignant que «les mis en cause rodaient discrètement dans les alentours de la cité», a-t-on signalé, ajoutant que «les 4 individus ont fait l’objet de surveillance discrète opérée par les policiers avant que ces derniers ne passent à l’action en les neutralisant sans fracas ni laisser de traces pour les embarquer par la suite vers le commissariat pour le reste des enquêtes les concernant». Il s’agit essentiellement des individus-récidivistes jugés pour des chefs d’inculpations liés à la criminalité et ayant semé la terreur dans la cité, dont, notamment le vol par effraction et autres méfaits pour lesquels ils ont été jugés et condamnés à différentes peines. Pour leur part, les policiers de la sûreté de daïra de Boutelilis, à l’extrême ouest d’Oran, viennent de neutraliser un autre individu récidivistes.
Âgé à peine de 30 année, ce dernier faisait l’objet de plusieurs mandats d’arrêts lancés à son encontre et six condamnations prononcées contre lui. Son arrestation fait suite à l’exploitation par des policiers des renseignements faisant état de l’apparition du mis en cause «investi » dans le trafic de la drogue, très précisément dans la «commercialisation» des comprimés psychotropes.
