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Logements, hôpitaux, augmentations des salaires et subventions

C'est la nouvelle Algérie!

La dimension sociale de l'État est la priorité du président de la République.

En ces temps de célébration du 69e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale, la Déclaration du 1er novembre interpelle les Algériens. Dans ce document fondateur de la République algérienne démocratique et populaire, la nation de l'État a été définie. Ainsi, les initiateurs d'une des plus grandes révolutions du XXe siècle ne s'étaient pas contentés du seul objectif de l'indépendance, mais ils avaient aussi préconisé d'édifier un État social. C'est gravé dans le marbre de l'Histoire et confirmé par le sang des martyrs. Beaucoup parmi ceux et celles qui rêvaient de cette nation sont tombés au champ d'honneur. Mais le serment se transmet au lendemain d'un Mouvement populaire, lui aussi, unique au monde en ce début du XXIe siècle. L'une des premières paroles du Président élu, aura été de tenir la promesse de Novembre et ne jamais dévier de la promesse d'édifier en Algérie un État social. Abdelmadjid Teboune n'en a pas fait un simple slogan de campagne, mais un engagement de tous les instants. À près de quatre années de responsabilité à la tête de l'État, les engagements pris sont aujourd'hui une réalité quotidienne. Les zones d'ombre, cette «tache» que le chef de l'État a voulu effacer du paysage de l'Algérie indépendante, devaient disparaître. Avec un prix du pétrole à moins de 40 dollars, une économie bureaucratisée et fragilisée par les révélations de l'époque, était-il raisonnable de lancer un vaste plan national destiné à réduire les disparités entre les zones urbaines, péri-urbaines et rurales? Tous les Algériens connaissent la réponse du président Tebboune. Après une première action, le chef de l'État a commencé à dérouler son programme: suppression de l'IRG pour les salaires de moins de 30000 dinars, augmentation du Snmg de 2000 dinars.
Surprise par l'avènement de la pandémie de Covid-19, l'économie du pays a été frappée de plein fouet. La quasi-totalité des filières à l'arrêt, le pétrole à moins de 30 dollars. L'ensemble des observateurs misaient sur un coup d'arrêt de la politique sociale du Président. Mais c'était mal connaître Abdelmadjid Tebboune. L'État a déboursé l'équivalent de 4 milliards de dollars pour venir en aide aux PME, aux artisans et lancé une grande opération d'importation du nécessaire médical pour faire face à la pandémie. L'objectif était de soigner les Algériens, tout en sauvegardant leur niveau de vie. C'était la croix et la bannière, mais disons-le clairement. Le Président n'a pas abandonné le volet social de son programme. Réduction de l'IRG pour l'ensemble des salariés, hausse du point indiciaire pour les fonctionnaires. Institution de l'allocation chômage. Les transferts sociaux maintenus. Dans son action, le Président a réduit les importations superflues pour protéger les classes moyennes et défavorisées.
Dans le «tunnel économique» où l'on ne voyait pas poindre un rayon de lumière, les experts attendaient un tour de vis dans les projets de logements. C'était dans le programme du Président. Mais là aussi, le chef de l'État les a déçus. Le rythme de réalisations des programmes intégrés à 100% n'a jamais été aussi fort. Des centaines de milliers de logements sont distribués. Des dizaines de milliers d'emplois étaient sauvegardés derrière.
Au sortir de la pandémie, les premières éclaircies étaient certes la hausse des cours du pétrole, mais pas seulement. Les exportations hors hydrocarbures avaient triplé. Le commerce extérieur a réalisé 5 milliards de dollars d'exportations de produits nationaux. Lors du même exercice, il a été excédentaire! les succès économiques s'étaient succédé. Levée d'obstacles sur un millier de projets, d'importants investissements dans l'aval pétrolier, l'industrie minière, la mécanique et autres filières qui s'étaient révélées disposant de gros potentiels. Les visites d'État du Président à Pékin, Ankara, Moscou, Rome et Lisbonne, couronnées par le nouveau Code des investissements ont placé le pays sur une prometteuse orbite économique.
Ces avancées n'ont pas fait perdre au président de la République les urgences sociales de l'État. Il avait promis de donner des moyens au Système national de santé, on a vu fleurir des hôpitaux à Zéralda, Djelfa et ailleurs. On a également constaté le début de réalisation d'un mégahôpital algéro-germano-qatari et l'on discute sérieusement sur un hôpital algéro-turc. C'est dire que Abdelmadjid Tebboune n'est pas adepte du discours creux. Lorsqu'il promet, il réalise. Et plus encore, il écoute les Algériens. Ces derniers ont exprimé leur désir de pérenniser la formule location-vente pour l'accès au logement. L'Aadl 3 devient une réalité.
Cela pour dire que la dimension sociale de l'État est la priorité du président de la République qui, en soutenant à bout de bras le pouvoir d'achat des citoyens, leur accès aux soins, à l'éducation, au travail, leur sécurité alimentaire... conforte la position de l'Algérie de leader africain en matière d'Indice de développement humain. Tous ces acquis nécessitent un sérieux effort de développement au plan économique et un solide front interne au plan politique. C'est dire la complémentarité de l'action du président de la République. En ces temps de célébration de la Déclaration de novembre, cela a du sens.

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