Belaribi : un ministre bâtisseur

Un ministre en « béton » ! Mohamed Tarek Belaribi a été hautement distingué par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Le chef de l’État lui a décerné, hier, la médaille « El Achir » de l’ordre du ¨Mérite national. « Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, récipiendaire de la médaille de l’ordre du Mérite national au rang « Sadr », a décerné la médaille de l’ordre du Mérite national au rang « Achir » au ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Mohamed Tarek Belaribi », a indiqué un communiqué de la présidence de la République.« Un honneur en reconnaissance pour ses efforts constructifs dans la promotion de ce secteur vital», souligne la présidence de la République, dans un communiqué. Une cérémonie spéciale a eu lieu, hier, juste avant la réunion du Conseil des ministres. Elle s’est déroulée au palais El Mouradia, en présence du Premier ministre, du directeur de cabinet de la présidence de la République, du secrétaire général de la Présidence, ainsi que de plusieurs conseillers à la Présidence et des membres du gouvernement.Un moment chargé d’émotion, où l’on pouvait lire sur le visage du président Tebboune la fierté de voir émerger une nouvelle génération de commis de l’État, engagés et efficaces. Face à tant d’honneur, Mohamed Tarek Belaribi, lui, semblait à la fois reconnaissant et déterminé à poursuivre son œuvre. Issu de la génération post-indépendance, Mohamed Tarek Belaribi est un pur produit du travail acharné et de la compétence. Né le 21 février 1972 à Alger, il a gravi les échelons avec une détermination sans faille. Ingénieur en génie civil, il fait ses premières armes au sein du groupe Cosider, avant de rejoindre le CTC en tant qu’ingénieur. Son ascension se poursuit avec des postes clés au sein de l’Entreprise Nationale de la Promotion Immobilière (Enpi) puis à la tête de l’Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement (Aadl). En février 2021, il est nommé ministre de l’Habitat, un poste qu’il prend en pleine pandémie de Covid-19, alors que le monde était à l’arrêt. Là où beaucoup auraient vu une impasse, lui a relevé un défi colossal : maintenir les chantiers en activité. Grâce à son engagement sans relâche, les projets de logement, notamment ceux de l’Aadl, ont continué à avancer à un rythme soutenu, permettant à des milliers de familles de recevoir leurs clés en temps voulu, alors que l’incertitude planait sur l’avenir du monde. Son talent de manager et sa rigueur ont poussé le président Tebboune à lui confier un autre défi de taille : achever les grands stades du pays, des chantiers interminables qui traînaient depuis des années. Sous sa supervision, ces projets ont été finalisés en un temps record, offrant à l’Algérie des infrastructures sportives modernes dignes des grandes nations. Mais Belaribi ne s’est pas arrêté là. Des logements, des stades, des infrastructures… sous son impulsion, l’Algérie bâtit à grande vitesse. Son engagement sur le terrain est sans faille : il suit chaque chantier, accélère les travaux, lève les entraves administratives et met tout en œuvre pour concrétiser l’engagement du président Tebboune à garantir le droit au logement pour chaque Algérien. Un exploit digne des plus grandes réussites restera la cité 13 300 logements de Sidi Abdellah, sortie de terre en moins de deux ans, un record qui aurait sa place dans le Guinness! Fort de ce succès, il s’attaque maintenant à un projet encore plus ambitieux : Aadl3. Avec 1,4 million d’Algériens inscrits et 200 000 logements programmés cette année, il met tout en œuvre pour que la nouvelle génération accède à un logement le plus rapidement possible. Réputé infatigable, ce bourreau de travail a prouvé qu’ « impossible » n’est pas Belaribi ! Avec de l’efficacité et la rigueur ,il a montré que les ambitions peuvent être transformées en réalisations concrètes. Ses résultats sont visibles, palpables, inscrivant son nom parmi les ministres qui incarnent le renouveau prôné par le président Tebboune. Ce sont ces hommes-là que la nouvelle Algérie veut voir à la manœuvre. Un ministre « tout –terrain » qui mérite tous les honneurs….