Fête de la Victoire: le Conseil de la nation souligne l'importance de la conjugaison des efforts
Le Conseil de la nation a mis l'accent, samedi, sur l'importance de conjuguer les efforts pour accomplir davantage de réalisations sur la voie de l'édification du pays et le renforcement des acquis de l'indépendance sous la direction du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune en guise de fidélité "au serment des Chouhada et aux sacrifices de notre vaillant peuple".
Cette fête "rappelle les Algériens de la nécessité de poursuivre le combat à travers le développement, la science et la conjugaison des efforts en vue d'accomplir davantage de réalisations dans le parcours d'édification du pays et de renforcer les acquis de l'indépendance sous la direction du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune", en ce en guise de fidélité "au serment des Chouhada et aux sacrifices de notre vaillant peuple", a précisé la Haute chambre du Parlement dans un communiqué à la veille de la célébration du 61e anniversaire de la fête de la victoire (19 mars).
Parvenir à imposer le cessez-le-feu n'était pas du goût "des partisans de l'Algérie française" en tête desquels l'organisation de l'armée secrète (OAS) qui "sortie de sa clandestinité, a traduit son extrémisme en crimes et en adoptant la politique de la terre brûlée pour atteindre ses fins", a tenu à rappeler le Conseil.
"L'idéologie barbare et extrémiste du colonialisme traditionnel ayant perpétré ces évènements tragiques subsiste encore sous la bannière du néocolonialisme ayant pour objectif de torpiller tout rapprochement entre les peuple algérien et français. Les néo-colonialistes œuvrent sans relâche à semer le trouble dans les relations entre les deux pays sur les traces de leurs ancêtres ayant tenté vainement de saper les accords d'Evian et de faire avorter l'indépendance de l'Algérie", lit-on dans le communiqué du Conseil.
"Jadis symbole de la lutte pour l'indépendance de l'Algérie, Novembre est aujourd'hui synonyme de la préservation de la souveraineté de l'Algérie", a estimé le Conseil de la nation.
Et d'ajouter: "Le peuple algérien, qui ne s'est jamais soumis à l'esclavage et au despotisme ni fléchi sous l'injustice, a toujours fait la différence entre le peuple français et la France coloniale évitant ainsi d'être pris au piège des cercles et lobbies qui craignent le rapprochement politique et humain entre les deux pays".