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James Cameron veut effacer le record du Titanic avec Avatar 2

Le réalisateur de Titanic, James Cameron est sur le point de battre le record du monde des recettes cinématographiques. Avec Avatar 2, il a réalisé l'un des
20 meilleurs démarrages du
siècle, laissant espérer un rebond du cinéma en salles après les années de pandémie, plus favorables aux plates-formes de streaming. Treize ans après Avatar, qui a approché les 3 milliards d'euros de recettes, Avatar: la voie de l'eau, a réuni plus de 2,7 millions de spectateurs. Selon les données de CBO Box office mercredi, c'est l'un des 20 meilleurs démarrages du siècle, alors qu'Avatar n'était que 24e. Avec ses 2,740 millions d'entrées, ce deuxième épisode de la saga de James Cameron fait légèrement mieux que le premier en 2009, qui avait atteint 2,648 millions d'entrées en première semaine.
Le deuxième épisode, avec 3h12, est plus long d'une demi-heure que le premier. Se déroulant de nouveau sur la planète Pandora, La voie de l'eau est une suite plus d'une décennie après les évènements du volet inaugural. Sorti vendredi en Amérique du Nord, il avait totalisé quelque 134 millions de dollars de recettes sur les trois premiers jours. Avatar, présenté comme une révolution technologique par son utilisation de la 3D, avait été l'un des plus grands succès de l'histoire du cinéma. Le réalisateur prévoit cinq épisodes, mais a déjà prévenu qu'il ne serait pas nécessairement derrière la caméra à chaque fois. Le Canadien de 68 ans ne cesse de clamer sa fascination pour les fonds marins, lui qui avait trouvé une expression déjà très aboutie dans Titanic, et qui s'épanouit sur une planète menacée par la convoitise des humains. Avant de conquérir le public, l'univers bleu d'Avatar 2 a fasciné la critique cinéma. «Blockbuster magistral nous projetant dans une nature sublimée et menacée par un impérialisme écocide, le film de James Cameron emporte le spectateur au-delà des frontières connues du cinéma.» «Une épopée de plus de trois heures sidérante. Du grand spectacle qui rend métaphoriquement hommage à la beauté de notre planète bleue.» «Ce spectacle familial hyperimmersif, où l'on voit défiler, médusés, des images fantastiques d'une beauté irréelle et de sidérantes créatures aquatiques, doit beaucoup à son réalisateur, à son génie scientifique, son sens du romanesque et son amour des belles images.» Le tournage a nécessité des moyens techniques colossaux, avec des tournages aquatiques périlleux, en apnée, et une palette extrêmement large d'effets spéciaux. James Cameron est connu pour sa passion pour les prouesses technologiques au cinéma. «J'aime penser que (la production du film) est comme une grande communauté hippie avec un tas de grands artistes», affirmait le réalisateur. «La technologie ne crée pas l'art. Ce sont les artistes qui créent l'art.» Environ deux tiers des spectateurs ont vu le film dans des salles proposant 3D HDR et technologie HFR, et dans la majorité des cas, en salles premium, soulignaient en début de semaine les studios 20th Century. 

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