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Alger, Timimoun, Constantine, Tizi Ouzou…

Une fête fédératrice

Dans les quatre coins du pays, l’heure est à la célébration du Nouvel An amazigh. Des centaines d’activités culturelles sont organisées un peu partout dans le pays pour revisiter l’histoire plusieurs fois millénaire de l’Algérie.

Comme chaque année, depuis l’officialisation de la journée de Yennayer, la capitale Alger marquera l’événement de fort belle manière. Plusieurs activités sont au menu. Organisé par la wilaya d’Alger, ce programme comprend des expositions dédiées à l’artisanat et aux arts plastiques, des spectacles artistiques, culturels et de divertissement, dont des concerts musicaux, des exhibitions et des concours de cuisine traditionnelle, mais aussi dans les domaines artistique et sportif, et ce, à travers tout le territoire de la wilaya. Plusieurs parties sont impliquées dans l’événement comme les directions exécutives, les établissements publics de wilaya et les communes.
Une riche affiche reflétant la diversité culturelle et le patrimoine historique de l’Algérie, est mis en œuvre et ce, depuis le 9 jusqu’au 17 janvier. Plusieurs communes abritent ces activités : La Casbah, Alger-Centre, Sidi M’hamed, Hussein Dey, Birkhadem, Aïn Benian, Dely Ibrahim, Rouiba, Douera, Bab El Oued. « Ces activités illustrent les multiples facettes de la culture algérienne », rappellent les organisateurs en précisant que les activités se tiennent aussi dans plusieurs lieux publics, notamment la place des Martyrs, Dar Bachtarzi, la place Maurice Audin, le Centre culturel Mustapha-Kateb, la place du 1er Mai, le Palais des expositions des Pins maritimes, la promenade des Sablettes, le Théâtre national Mahieddine-Bachtarzi (TNA) et la salle Ibn Khaldoun. Même topo dans la capitale de l’Est algérien.
Les activités, organisées par l’antenne de l’Office national de la Culture et de l’Information (Onci) ont commencé jeudi à Constantine. Une exposition d’artisanat et des métiers regroupant 25 participants versés dans diverses spécialités dont la poterie et l’habit traditionnel représentant, notamment Constantine et Bouira, est en cours. Cette exposition, vise, selon les organisateurs, à faire connaître et à découvrir le patrimoine traditionnel amazigh. Organisée en coordination avec la Chambre de l’artisanat et des métiers (Cam) et la direction du tourisme et de l’artisanat, cette manifestation artistique se veut une opportunité « pour découvrir différents métiers artisanaux et vise à inciter les jeunes à investir dans l’artisanat et à améliorer la qualité du produit artisanal aussi bien à l’échelle locale que nationale ». Dans le même sillage, Constantine abrite trois ateliers de formation autour de la broderie, la couture et le dessin sur verre dont le but de sauvegarder et de valoriser le patrimoine artisanal au profit des générations. Au menu, il y aura la projection d’un film documentaire intitulé Juba II et réalisé par Mokrane Aït Saâda Des spectacles artistiques pour enfants sont annoncés ainsi que des ateliers artistiques destinés au jeune public, liés à divers domaines à l’instar de l’écriture amazighe, l’art de la miniature et le conte amazigh, et des expositions sur les arts traditionnels kabyles, ont été ouverts, dans le cadre de programmes tracés par d’autres structures culturelles, à l’instar de l’Ecole régionale des beaux-arts et la bibliothèque principale de lecture publique « Mustapha Nettour » qui s’étaleront jusqu’au 13 janvier.

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