La mineure était sur une mine

Le procès de l'aventurier-amoureux fou d'Abla. K. s'est tenu régulièrement, la juge ayant préféré'éloigner le hus clos, car, il n'y avait rien eu comme «cochonneries», lors de l' «invitation» du jeune lycéen à l'adolescente de le rejoindre at. home.
La jeune et menue lycéenne mineure n'avait pas encore seize ans, (elle ne les aura qu'en fin novembre 2024), mais faisait tout de même «femme forte, et plus mûre», lorsqu'elle fut invitée par Med El Kamel. J. Un jeune homme de vingt ans à peine, à prendre une fraiche boisson gazeuse dans l'arrière - salle d'un salon de thé très fréquenté par les jeunes du quartier populeux de la ville. Il est troublant qu' en 2024, malgré les réseaux sociaux, après avoir consommé et dégusté un bon thé, et un succulent gâteau de chez nous, la fille demanda à son compagnon de quelques semaines, la permission de se débarbouiller un instant, aux sanitaires, se trouvant au sous-sol de l'établissement. Elle dévala toute seule les marches de l'escalier en colimaçon, et se retrouva en compagnie de quelques filles qui se refaisaient une beauté devant une glace-top!
En remontant les marches d'escalier, elle tomba nez à nez avec un jeune collègue bien nippé, et surtout visiblement excité, qui l'invita tout à fait normalement, à l'accompagner chez lui, où allait se tenir une petite fête, regroupant tous les camarades, filles et garçons, de lycée.
La lycéenne allait demander de plus amples explications, quand le gamin la prit par les mains, et la tira vers la sortie, par l'arrière de la cafétéria. Après avoir parcouru quelques hectomètres, le jeune couple arriva près d'une très vieille, et rénovée villa du quartier, situé dans le côté opposé de la cafète. Ils entrèrent dans la somptueuse habitation, et la fille fut surprise, d'abord, puis horrifiée, quand elle comprit un peu tard, il est vrai, qu'ils étaient seuls dans cet endroit. C'est alors qu'elle eut un inespéré réflexe, celui de retourner vers la sortie, d'ouvrir la porte, et de se retrouver nez à nez avec Salah. R. Un camarade d'enfance, qui a deviné le manège qu'il avait suivit, très discrètement, depuis le début à la cafétéria! Il lui signifia le retour à la maison, pour éviter tout malentendu. Lui faisant une aveugle confiance, elle le suivit, en marchant un bon moment à la recherche d'un introuvable taxi, qu' ils prendront, en direction du home. Une fois arrivés au domicile, devant sa maman stupéfaite, Adila. F. Se jeta carrément dans ses bras, avant de vomir sur la veste en cuir du compagnon. «J'ai eu si peur que je n'ai même pas respiré profondément en cours de route. Omar. G. m''a vraiment fait peur en voulant abuser de moi chez lui...Et, je...
--Pourquoi ll'avais-tu accompagné chez lui? Ses parents sont absents. Le savais - tu?
-- Non, non, je nn'en savais rien. Il a fait très vite. Il m'a pressé et tenu fortement par la main, si rapidement que je n'y avais vu que du feu! Ah! si je savais au début quelles étaient ses intentions, je ne me serais jamais laissé faire aussi facilement.
D'ailleurs, j'en parlerai avec son papa, dès qu'il rentrera de Tlemcen. Il ne sera pas ravi d'apprendre ce qui s'est passé avec son rejeton; mais, Allah Ghaleb...
--Il nn'y a ni d' «Allah Ghaleb» ni Dieu l'avait voulu, ni rien d'autre qui puissent te faire mordre les phalanges!» Coupa, le ton tordu, la mère qui sanglotait fortement à la simple idée, que son enfant fut violenté par un homme, fut-il un camarade de lycée.
La pauvre maman continuait sa complainte, sans tenir compte de la peur bleue qui tenaillait sa fille. Une peur bleue, car sitôt le papa tenu au courant, adieu les études et tous les super- délicieux rêves, de mademoiselle!