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Agressée, battue et humiliée!

Dahman K. et Ezzaghouani F. ont voulu jouer à de dangereux «Don Juan», mais le sort en a voulu autrement. Ils sont devant la farouche juge qui ne sait qu'appliquer la loi.

Les deux détenus s'avancent en comparution immédiate pour avoir attaqué une jeune fonctionnaire, bien soutenue par non seulement ses proches, mais aussi, ses collègues, venus nombreux, ce
mercredi de fin juin 2021.
D.H. une jeune et charmante jeune fille de 25 ans, qui a failli connaître les affres d'une action, à des fins criminelles!
C'est une jeune et mignonne employée des services d'un guichet unique d'une grande administration, d'un important chef- lieu de la région Ouest du pays.
Dotée d'une probité sans faille, elle est estimée et respectée par tous ses collègues. Elle arrivait tous les matins, fraîche et disposée à ne faire que son boulot!
Elle faisait preuve d'un sérieux pendant les heures de travail, que les responsables, emportés par cette exemplaire fonctionnaire, décidèrent d'un avancement dans la hiérarchie locale! Il faut dire qu'à son âge, D.H. Fait très, très jeune. Sa beauté n'a d'égale que sa gentillesse.
Un soir de mai 2021, elle rentrait tranquillement chez sa tante souffrante, car malade, lorsqu'elle fut abordée par deux individus qu'elle n'avait jamais vus auparavant.
«Mme, connaissez-vous un certain Miloud M. commerçant de la rue Malika Gaïd? dit, le premier petit bonhomme qui affichait bizarrement, un calme et une sérénité à toute épreuve.
La fille fait non de la tête et des épaules et retourne les talons pour se diriger vers le domicile de tata Ouahiba N. Elle n'ira pas plus loin, car elle sentit la pointe d'un objet contendant, lui faire mal. Elle s'arrêta net, sans pouvoir prononcer une seule syllabe.
Le second gus qui était derrière elle, se précipita sur ses frêles épaules pour lui passer un bandeau sur les yeux, la pousser dans un véhicule qui s'ébranla vers le néant. Ils roulèrent le temps d'arriver à l'endroit choisi par vraisemblablement, des malfaiteurs. Ils firent descendre la malheureuse captive qui, sur le moment, ignorait tout de son fâcheux et désastreux sort!
Au moment où les trois personnes entraient dans la bicoque de fortune dénichée par les bandits, le soleil faisait ses adieux à la région, pour laisser place à une gênante et agaçante obscurité qui rendait l'atmosphère insupportable.
Art.422 bis. (Loi n° 82-04 du 13 février 1982) Sont punis d'une amende de 100 à 1 000 DA et peuvent l'être, en outre, de l'emprisonnement pendant dix jours au plus, les auteurs et complices de rixes, de voies de fait ou violences légères et ceux qui jettent, volontairement, des corps durs ou des immondices sur quelqu'un. Sont punis des même peines ceux qui troublent la tranquillité des habitants par bruits, tapages, attroupement nocturnes et utilisation d'appareils sonores ou encombrants, par des jeux collectifs ou tout autre moyen, des lieux publics ou destinés au passage public.

De Quoi j'me Mêle

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