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Le torchon brûle entre Bengrina et Karim Tabbou

La qualification par Bengrina, de la langue nationale et officielle tamazight de «chose», a suscité colère et indignation sur les réseaux sociaux. Réagissant, Karim Tabbou a affirmé que «lorsqu'un responsable d'un parti politique connu pour son hostilité maladive envers la Kabylie, au vu et au su de toutes les instances judiciaires, tient les discours ethnocides et d'insultes à l'égard de cette région, allant même jusqu'à l'apologie de la haine (...) son éviction de la scène relève de l'hygiène politique tout court». De son côté, le SG par intérim de l'Organisation nationale des Moudjahidine a indiqué que le président d'El Bina «n'a rien trouvé d'autre que de promettre le paradis aux Algériens. Mais qu'a-t-il donc donné à la société sur cette Terre?». Lancé dans la polémique, Bengrina répond au patron de l'ONM en remettant en cause sa légitimité avant de lui reprocher de ne pas parler «dans la langue du Coran, l'arabe» et de n'avoir jamais critique le MAK. Aux propos de Karim Tabbou, Bengrina a également réagi: «Celui qui dénigre les institutions sécuritaires, les institutions de l'Armée nationale populaire et de la présidence de la République est un traître, un ignorant ou bien un serviteur.»

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