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Le cynisme de Makri

Le décès de l'ancien président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a suscité plusieurs réactions. Autrefois proche du pouvoir, le président du Mouvement de la société pour la paix, Abderrazak Makri, a remis, à l'occasion, son habit de prédicateur religieux. Dans un post publié sur sa page facebook, Makri est loin de présenter ses condoléances. Selon lui, ce décès constitue un «avertissement aux dirigeants actuels». Il affirme que la mort est un bon prédicateur. «Malheur à un dirigeant rattrapé par la mort alors qu'il a lésé, triché ou menti...», écrit Makri, ajoutant que «le jour du jugement dernier viendra», et ce jour sera difficile pour les responsables. C'est un véritable prêche que Makri a publié. Pour conclure, Makri implore «Dieu d'avoir pitié de tous les morts musulmans». En véritable islamiste, Makri commet là un véritable pamphlet, un prêche dans lequel la mort d'un homme devient un outil pour mettre en garde les vivants.

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