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Abdelkrim Medouar, président de la LFP

«Laissez les gens faire leur travail!»

Le président de la LFP, Abdelkrim Medouar, a répondu, hier matin, aux questions relatives à l'affaire Halfaya - Saâdaoui, qui marque l'actualité sur la scène sportive nationale.

Le premier responsable de la LFP, Abdelkrim Medouar, n'a pas mâché ses mots, hier matin, en revenant sur l'affaire de marchandage de matchs, qui aurait impliqué, via un enregistrement sonore, le directeur général de l'ES Sétif, Fahd Halfaya, et l'agent de joueurs, Nassim Saâdaoui. «Depuis le déclenchement de cette affaire, toutes les parties concernées ne chôment pas. Le MJS a déposé une plainte contre X, la justice fait son travail au même titre que la commission de discipline au niveau de la LFP. Il faut les laisser mener leur travail comme il est indiqué», a lancé Medouar, de passage sur les ondes de la Radio nationale. Le responsable en question a tiré à boulets rouges sur certaines personnes, qui, selon lui, «nagent en eaux troubles». «Que vous soyez journalistes, consultants, dirigeants, entraîneurs ou anciens joueurs, restez loin de cette affaire et ne commentez pas les rumeurs. Chacun doit faire son travail», dit-il encore. Et de poursuivre: «Chaque organe travaille de son côté. Par exemple, la commission de discipline auditionne les personnes impliquées dans cette affaire, en parallèle avec le travail de la justice. Trop de choses sont dites, alors qu'en réalité, ce ne sont que parlotes.» Medouar a apporté un démenti formelle quant à l'information rapporté, affirmant que lui et le président de la FAF, Kheïredine Zetchi, avaient été destinataires de l'enregistrement en question avant même son lancement sur les réseaux sociaux. «Nassim Saâdaoui, que l'on présente comme bourreau, a déjà démenti cette information balancée, malheureusement, par des journalistes chevronnés, lesquels ont fini par tomber dans le piège de la rumeur», précise-t-il. Pis encore, l'intervenant affirme que l'éclatement du transfert de M'hamed Merouani, de l'ASO Chlef au MC Alger, visait à nuire à sa propre personne en tant que président de la LFP et ancien du club chélifien. «Le pire, c'est qu'on rapporte des propos attribués au joueur, alors que celui-ci n'a rien dit pour l'heure», poursuit encore Medouar. Pour ce dernier, «une fois que celui (ou ceux?) qui a balancé cet enregistrement sonore et le document Merouani sera démasqué, plusieurs choses vont être claires». Par ailleurs, il a évoqué l'avenir du championnat et reste flou. Pessimiste, il a insisté à rappeler que la décision dans ce sens dépasse son Instance et la FAF. «Personnellement, je suis contre une reprise de la compétition sportive dans cette conjoncture. Maintenant, la FAF et la LFP proposent et la décision revient aux autorités algériennes», a rappelé l'ancien président de l'ASO. 

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